Rienqu'une larme dans tes yeux. Et soudain je réalise. Je réalise que de nous deux. C'est moi le plus malheureux. Par ma faute, trop de fois, Mon amour tu as pleuré. La suite des paroles ci-dessous. J'ai voulu partir cent fois. Et cent fois je suis resté.
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal ⏠MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de lâavant⊠Câest Ă la fois une philosophie et une raison dâĂȘtre. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivĂ© mais câest arrivĂ©. Quand jây repense, jâen aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que jâaille de lâavant, que jâimagine ma vie autrement quâĂ travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais câest ainsi⊠Ma vie ne se rĂ©sume quâà ça, quâĂ ce son qui rĂ©sonne entre six cordes, quâĂ des paroles susurrer par le passé⊠Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me dĂ©prime⊠»La plume sâĂ©tait arrĂȘtĂ©e. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin sâĂ©tait stoppĂ© net, faisait place Ă la froideur de la nuit, Ă ce silence quâAlice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenĂȘtre, les quelques bougies allumĂ©es sâĂ©taient presque Ă©teintes, et le crĂ©pitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un dĂ©tail qui pourrait lâĂ©tonner ; mais elle la connaissait par cĆur. Ses moindres coins et recoins, tout ça Ă©tait devenu banal. Pucky avait trouvĂ© le sommeil aux pieds de la jeune Alice, lâair de rien, il sâĂ©tait endormit paisiblement, Ă©mettant des ronronnements quâon aurait pu entendre Ă des kilomĂštres de lĂ . La Lune Ă©tait Ă©carlate, telle une peinture encore fraĂźche quâon nâosait pas toucher, de peur de tout gĂącherâŠCe tableau Ă©phĂ©mĂšre qui est la vie, ce tableau quâon envisage, quâon dĂ©visage et puis quâon jette, parce quâil est dĂ©modé⊠Câest ça, le bonheur quelque chose quâon jette, parce quâil est dĂ©passĂ©. Alice poussa un long soupir. Elle Ă©tait donc la seule Ă cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les Ă©lĂšves restaient Ă©veillĂ©s jusquâĂ tard le soir⊠Oui, elle ne comprenait plus rien, Ă croire quâelle Ă©tait faites pour tout tenir en Ă©chec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans lâencrier sombre qui Ă©tait dĂ©licatement posĂ© sur la table basse. Dâun geste brusque, elle nota un motâŠun seul. Hate » BAM ! Son cĆur venait de dĂ©crocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchĂątres. La jeune demoiselle, Ă lâapparence dâune poupĂ©e en porcelaine, rapprocha dĂ©licatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tĂȘteâŠDes reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient dâaccroĂźtre. La jeune Alice serra les poings, sâempĂȘchant de crier, mais la tentation Ă©tait trĂšs forte, trop forte mĂȘme⊠Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de lâannĂ©e. Etait-ce si difficile ? Non, bien sĂ»r que non ! Elle Ă©tait habituĂ©e Ă ne rien dire, Ă garder tout ça en secret. Son cĆur Ă©tait fermĂ© Ă doubles tours, oui, câĂ©tait connutâŠAlors pourquoi craquĂ© lĂ , maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-mĂȘme ne savait pas pourquoiâŠsans doute le stress. Et quel stress. Ses mains sâĂ©taient mises Ă trembler dâavantage, mais ça ne lâempĂȘcha pas de reprendre son parchemin Ă prĂ©sent plein de tĂąches dâencres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage⊠Le fort dâun ĂȘtre, câest de savoir souffrirâŠsans ça, il est vouĂ© Ă lâĂ©chec complet. Je ne suis sĂ»rement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais toutâŠmais pour le moment, le jour nâest pas encore venu. »Ses yeux dâun gris Ă©blouissant se remplissaient dâeau. De lâeau quâon aurait voulut prendre dâun geste, pour quâelle cesse de pleurer sur lâĂ©tat du monde, pour quâelle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien nây faisait, pourtant on la voyait sourire en mĂȘme temps. CâĂ©tait de lâironie⊠Stop. Le silence revint alors, plus rien nâaurait pu retenir son attention Ă part le crĂ©pitement du feu. Plus rien, mĂȘme pas ces voix qui va et venaientâŠmĂȘme pas ce bruit Ă©trange qui venait de sâinterposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on Ă©coutait de plus prĂšs, câĂ©tait des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal dâarrĂȘter ses larmesâŠelle se mit Ă empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. Sâen Ă©tait assez ! Dâun geste quasi-immĂ©diat, elle balança la boule » Ă lâautre bout de la piĂšceâŠSon coeur battait la chamade, ses yeux Ă©taient fermer, ne voulant pas voir la rĂ©alitĂ© en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongĂ©e sur son lit, incapable de sâendormir, les jambes et les bras croisĂ©s, elle restaient lĂ inerte, a rĂ©flĂ©chir, ou plutĂŽt a rĂȘver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaĂźtre ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, dĂ©cidĂ©ment, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, Ă©tait prise dâinsomnie inexplicable. Elle nâen parlait bien Ă©videment a personne, car elle nâĂ©tait pas du genre a ce confier. HabillĂ©e dâun short et dâun dĂ©bardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le cĂŽtĂ©. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. DĂ©cidĂ©ment, elle nâaimait vraiment pas lâhiver, câĂ©tait bien trop froid, pour la jeune Ă©tudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrĂ©s vers la salle de bain. Le dortoir plongĂ© dans lâobscuritĂ©, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsquâelle arriva Ă lâendroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi quâil en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumiĂšre verte, qui lâĂ©claira assez, pour que Natalia puisse sâemparer du premier Ă©lastique quâelle trouva, pour ainsi, sâattacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mĂšche retombant devant ses yeux, elle la cala derriĂšre son oreille droite, puis se dirigeant a prĂ©sent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour Ă©viter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de lâescalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et sâarrĂȘta Ă quelques marches de la fin de celui-ci. DâoĂč elle Ă©tait, elle ne voyait pas encore qui câĂ©tait, et si elle tombait sur la prĂ©fĂšte, elle sentait a trois kilomĂštres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne Ă©tait toute seule, elle nâallait pas parler, Ă moins quâelle soit folle. Elle sâĂ©tira alors du mieux quâelle pu pour sortir sa tĂȘte et regarder qui sâĂ©tait. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit dâenfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut ĂȘtre que certains descendrait voir ce quâil se passait. Puis, elle sâintĂ©ressa enfin Ă la personne qui Ă©tait prĂ©sente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors rĂ©primer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. CâĂ©tait une longue histoire, une longue amitiĂ©, qui remontait a prĂ©sent Ă de nombreuses annĂ©es. Effaçant son sourire doucement, elle sâapprocha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla sâasseoir dans le fauteuil le plus prĂšs de la cheminĂ©e. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre Ă lâaide dâun sortilĂšge basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce quâelle faisait a une heure pareille a Ă©crire dans la salle commune, alors quâelle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait lĂ , le tempĂ©rament dâAlice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce nâest pas drĂŽle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusĂ© sur les lĂšvres, la jeune femme connaissait dĂ©jĂ la rĂ©ponse, elle Ă©crivait ses pensĂ©es, comme toujours. Eternelle rĂȘveuse. Silence. Et si on sâenfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine quâil serait comme on le voudrait. Oui. CâĂ©tait gĂ©nĂ©ralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une derniĂšre fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de lâagiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On sâles gĂšle. Allez, jâme casse. »Nuit. Parc. Atreus. LĂ encore, ces trois mots rĂ©sumaient bien la situation. LâIrlandais nâavait pu sâempĂȘcher de faire une petite escapade nocturne. Il y Ă©tait accoutumĂ© mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de prĂ©fet ? Boaf. Pas une raison pour respecter Ă la lettre le rĂšglement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans lâobscuritĂ©, bougea. Elle se mit en marche vers le chĂąteau, prenant garde au sol traĂźtre du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dĂ©passant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. EnsanglantĂ©. Pas besoin de vous rappeler ce quâil fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, Ă©clairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. CâĂ©tait une nuit claire et fraĂźche de Septembre. Le silence de la nuit Ă©tait agrĂ©able. Reposant. MĂȘme le vent se faisait discret. Seul le lĂ©ger bruit Ă©touffĂ© des pas de lâĂ©tudiant se faisait entendre. Mais, fatiguĂ© de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. SaletĂ© de volatiles nocturnes. LâĂ©lĂšve reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grĂące Ă son don, Atreus ne tarda pas Ă arriver sans encombre devant lâescalier qui menait Ă sa salle commune. Donnant sans hĂ©sitation la rĂ©ponse Ă la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme sâengouffra avec joie dans la salle, emmitouflĂ© dans une veste grise. Le feu crĂ©pitait avec tant ardeur quâil sâen Ă©tonna premiĂšrement. Câest alors quâil aperçu les deux silhouettes assises auprĂšs du foyer. Elles sâĂ©taient retournaient Ă son entrĂ©e et lâobservaient Ă prĂ©sent. LâIrlandais nây prit pas garde dans lâinstant et entreprit de se rapprocher de lâĂątre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que sâapprocher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. CâĂ©taient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De mĂȘme annĂ©e que lui, Atreus sâĂ©tait liĂ© dâamitiĂ© avec cette jeune femme dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©. MalgrĂ© leurs caractĂšres diffĂšrent remarquez, Atreus est diffĂ©rent de la majoritĂ© des Serdys, ils sâapprĂ©cient mutuellement. Lâautre jeune femme nâĂ©tait quâautre que Alice, grande amie de Junie et en SixiĂšme AnnĂ©e. Atreus lâa connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face Ă la cheminĂ©e mais proche des deux filles et se mit en devoir de rĂ©chauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tĂȘte et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois Ă©tudiants. Une nuit. VoilĂ le tableau. DerniĂšre Ă©dition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, Ă©ditĂ© 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur dâĂȘtre prise sur le fait, dâĂȘtre dĂ©couverte⊠Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. CâĂ©tait automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bĂȘtement. Elle dĂ©testait ça, mais ne pouvait sâen empĂȘcher. Ah, si vous saviez⊠Si vous saviez comme Junie Ă©tait importante pour la jeune Alice. CâĂ©tait une amie remarquable, et toutes deux Ă©taient trĂšs semblables. La jeune Brown se dĂ©gagea la gorge, touchant dĂ©licatement ses yeux ; mais ça ne servait Ă rien de le cacher, Natalia saurait quâelle avait versĂ© quelques larmes⊠CâĂ©tait ça, leur amitiĂ©. ConnaĂźtre lâautre sur le bout des doigts, savoir ce quâelle ressent sans mĂȘme lui accorder un regard ; ça câĂ©tait la vraie amitiĂ©, celle quâon voit dans les contes de fĂ©es, celle dont on rĂȘve toute sa vie, celle quâon a peur dâimaginer⊠Alice avait eut de la chance ; elle lâavait trouvĂ©. Ca ne collait pas trop dans son caractĂšre de sâattacher Ă quelquâun, mais dans le cas lĂ , elle nâavait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontrĂ© Junie quelques annĂ©es auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus⊠Dans un toussotement lĂ©ger, la Serdaigle Ă©couta la voix de son amie. Ce quâAlice fabrique ? HumâŠJunie le savait au fond, car câĂ©tait devenu une coutume » pour la jeune Brown ; Ă©crire. OhâŠEh bien, jâĂ©crivais. »Elle eut une pensĂ©e pour la boule de parchemin qui avait voltigĂ© Ă lâautre bout de la salle commune. Puis elle Ă©metta un bref soupir, le regard gĂȘnĂ©. Câest vrai, et si Junie lui demandait ce quâelle avait Ă©crit, quâaurait-elle Ă rĂ©pondre Ă part je sais plus » ? Rien, strictement rien⊠Mais cette idĂ©e ne fit que lui traverser lâesprit, trop occupĂ©e Ă regarder lâĂ©lĂšve qui venait dâentrer dans la salle commune. Alice ne sâoccupa pas trop de lui, pensant que câĂ©tait encore un de ces Ă©lĂšves de TroisiĂšme annĂ©e qui cherchait absolument Ă se faire remarquer â dâailleurs, vu le bruit, ce nâĂ©tait pas Ă©tonnant. Mais elle ne tarda pas Ă comprendre quâil ne sâagissait dâen aucun cas dâun troisiĂšme annĂ©e, mais plutĂŽt de Atreus Calgar, le PrĂ©fet. Bon, Alice ne le connaissait pas Ă©normĂ©ment, mais dâaprĂšs Natalia, il en valait la peine⊠La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusquâĂ ce quâil prenne la parole⊠A priori, Junie et lui Ă©tait frigorifiĂ© ; Ă les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils Ă©taient trois. Ca va, ça va⊠» mais elle ne pouvait sâempĂȘcher dâavoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancĂ©e âŠet toi ? »Pas trĂšs crĂ©dible, sĂ»rement. Mais les mots quâavaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre lâespoir. DREAM. Elle avait raison, la vie câest avant tout vivre ses rĂȘves⊠Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se lâĂ©tait dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, nâosant plus regarder la rĂ©alitĂ© en face. Elle fut Ă©coeurĂ©e rien quâĂ la pensĂ©e dâĂȘtre apprĂ©ciĂ©e ». Non, câĂ©tait impossible⊠Son regard se posa Ă©troitement sur Atreus. Quand elle sâen rendit compte, elle nâosa plus bouger un cil, se contentant dâĂ©couter la mĂ©lodie que produisait le crĂ©pitement du feu⊠Puis Junie. Elle Ă©tait toujours lĂ , toujours avec cet air rĂȘveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tĂŽt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans lâatmosphĂšre. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensĂ©e revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui Ă©tait impossible de dire la vĂ©ritĂ©, sa vĂ©rité⊠Pas pour lâinstant, en tout cas. Imagines toi dans un monde oĂč il nây a que nous, oĂč tu as des ailes et oĂč les seuls sentiments qui y rĂšgnent sont lâamour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu lâas trouvé⊠Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, câest le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRĂCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et dĂ©solĂ©, j'ai fait un truc pourri -___- DerniĂšre annĂ©e. Nouvelle annĂ©e. CâĂ©tait carrĂ©ment une partie de son adolescence qui allait bientĂŽt se terminer. De toute maniĂšre, depuis maintenant presque un an, il Ă©tait majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il nâavait pas redoublĂ©. Il avait simplement perdu une annĂ©e pour cause quâil Ă©tait nĂ© en novembre. Mais ça, ce nâĂ©tait ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas Ă©crire tout un texte sur sa naissance, ce nâest pas important. Ian Ă©tait dans son dortoir. Sa baguette Ă©mettait une petite source de lumiĂšre, baguette qui Ă©tait posĂ©e contre la petite table au cĂŽtĂ© du lit. Elle Ă©tait suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas rĂ©veiller le reste des septiĂšmes annĂ©es. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre dâannĂ©es quâils se connaissaient, Ian commençait Ă trĂšs bien le connaĂźtre. Ils Ă©taient quand mĂȘme assez proches. Le prĂ©fet Ă©tait probablement parti se promener quelque part dans lâĂ©cole. Plusieurs fois, il Ă©tait venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attirĂ© son attention. Durant lâaprĂšs-midi, il Ă©tait passĂ© faire un tour Ă la bibliothĂšque, comme Ă son habitude, mais il Ă©tait tombĂ© sur un petit ouvrage bien particulier. Il nâavait pas de titre. La couverture Ă©tait rouge foncĂ©, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? CâĂ©tait impossible Ă dĂ©chirer, et Ian ne lâavait pas lĂąchĂ© depuis. MĂȘme le texte semblait assez complexe. Il nâĂ©tait rendu quâĂ la cinquiĂšme page et encore il Ă©tait mĂȘme pas certain dâavoir tout saisit. CâĂ©tait un univers spĂ©cial quâil devait absolument dĂ©couvrir. Il Ă©tait tellement absorbĂ© quâil nâavait mĂȘme pas vu un autre Ă©tudiant se levĂ© et venir Ă cĂŽtĂ© de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans mĂȘme lever un regard. Quâest-ce que tu fais ? »Le jeune homme sâarracha difficilement de son livre et posa son regard foncĂ© sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand mĂȘme. Je lis. Ăa ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumiĂšre de ta baguette mâarrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. Sâil voulait dormir, il nâavait quâĂ fermer les yeux ou se tourner de lâautre cĂŽtĂ©. Le jeune homme haussa les Ă©paules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures nâavaient pas Ă©tĂ© dĂ©fais. Il Ă©tait simplement assis, dos contre son oreiller, qui Ă©tait contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. Ă la tombĂ©e de la nuit, il avait enfilĂ© une veste bleu foncĂ© et avait mis le capuchon sur sa tĂȘte. Allez savoir pourquoi. Tout portait Ă croire quâil ne sâĂ©tait pas encore changĂ© pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette quâil Ă©teignit de façon informulĂ©e et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit Ă son tour les escaliers en colimaçon, et sâarrĂȘta dĂšs quâil eut enlevĂ© le pied de la derniĂšre il eut une impression de dĂ©jĂ vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce nâĂ©tait pas la premiĂšre fois quâils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la mĂȘme main, il eut un petit sourire en coin et sâapprocha dâun des fauteuils et sâinstalla aux cĂŽtĂ©s dâAtreus. Bonsoir Ă tous. »Toujours le capuchon sur sa tĂȘte, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lĂšvres. Xavier mâa gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'Ă©tait pas tellement apprĂ©ciĂ© d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrĂ©e Alice avait versĂ©e quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'Ă©tait la pudeur, et elle mĂȘme detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle mĂȘme. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais aprĂšs quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'Ă©tait trompĂ©e et que le bruit ne provenait pas de lĂ . Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivĂ©e dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En mĂȘme temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrĂȘter pas mĂȘme Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapprochĂ© des deux amies, a son expression cela ne l'Ă©tonnait guĂšre de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en mĂȘme temps au bout de sept ans, il devait s'y ĂȘtre habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va⊠et toi ? »Natalia ne rĂ©pondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le prĂ©fet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se rĂ©chauffer grĂące au feu qu'elle avait allumĂ©e quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'Ă©tait comme un jeu pour les deux amies, et en mĂȘme temps une façon de s'entrainer pour les sortilĂšges. Elles Ă©taient ce que l'on pouvait qualifer de rĂ©eles sorciĂšres, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, mĂȘme lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crĂ©pitement des flammes. Je pĂšte la forme. »L'arrogance de Natalia Ă©tait quelque chose de phĂ©nomĂ©nal, les rĂ©pliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y Ă©chapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a rĂ©pliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors trĂšs vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de dĂ©fi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrĂ©e. Silence. Tournant la tĂȘte, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une lĂ©gĂšre grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'Ă©tait que James. C'Ă©tait quelqu'un avec qui elle s'Ă©tait rapprochĂ©e dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©, et avec qui elle Ă©tait a prĂ©sent Ă©troitement liĂ©es. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, oĂč alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en mĂȘme Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, mĂȘme avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir Ă tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est dĂ©chainĂ©e. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en mĂȘme temps, cela fait bientĂŽt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractĂšre arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va⊠et toi ? »Atreus - On fait avec⊠» Atreus fit un lĂ©ger sourire Ă Alice tout en apprĂ©ciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se rĂ©chauffer tiens. AprĂšs un instant de rĂ©flexion avec sa conscience il rectifia sa pensĂ©e. Non. Le meilleur moyen Ă©tait un bon verre dâalcool. Mais faute dâen avoir dans lâimmĂ©diat, câĂ©tait lâidĂ©al pour lâinstant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm⊠Quâavait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusquâĂ prĂ©sent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la premiĂšre fois. On va dire quâAtreus Ă©tait accoutumĂ© de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de dĂ©conner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant Ă lui, il Ă©tait sĂ»rement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un pâtit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empĂȘchait pas Atreus de lâadorer comme un frĂšre. Tout comme il adorait Junie et son caractĂšre. Et Alice avec sa gentillesse et sa mĂ©lancolie. Junie - Je pĂšte la forme. » Atreus eut un lĂ©ger sursaut et observa Junie. AĂŻe. Jâvous avez dit quâil y avait quelque chose qui clochait. AprĂšs sept ans passĂ© en sa compagnie, jâla connaĂźt comme ma sĆur la Junie. LâIrlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce quâil avait fait qui pouvait dĂ©plaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. VoilĂ quâça recommence. Comment il avait pu ne pas penser à ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois nâavait-il pas eu Ă essuyer les rĂ©primandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. Jâose mĂȘme plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent oĂč se dĂ©marquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les prĂ©senta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de dĂ©fi, Atreus reprit la parole, un peu sĂšchement mais toujours dâun ton cynique. Atreus - Tâveux vraiment mâaccompagner pour mâvoir faire ça ? Jâcroyais que ça te plaisait pas. » Mais avant quâaucun des trois Ă©tudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complĂštement pour faire face Ă lâescalier des dortoirs, prĂȘt Ă remballer aussi sec tout Ă©lĂšve qui se serait pointĂ©. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. LâIrlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un Ă©ternel bouquin Ă la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir Ă tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put sâempĂȘcher dâĂ©clater de rire. Les taquineries de Junie. Lâirritation quâĂ©prouvait Ian Ă lâĂ©vocation de son autre prĂ©nom, James. Fallait dire ce quâil fallait. Ils lui avaient quand mĂȘme manquer pendant les vacances. Tous. James sâinstalla aux cĂŽtĂ© de lâIrlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant sâempĂȘcher de repasser une couche aprĂšs la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment quây vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lĂšvres retroussĂ©es en un sourire complĂštement stupide mais Ă©nervant, Atreus observa la rĂ©action de son ami. Elle allait pas tarder. Et câĂ©tait toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne rĂ©alise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrĂštement Ă Atreus Ian - Xavier mâa gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-lĂ . Toujours Ă rĂąler, se plaindre, gĂ©mir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui rĂ©pondre, dâune voix exaspĂ©rĂ©e et lĂ©gĂšrement dur Atreus - P'tin. Jâte jure, sâil nous refait lâmĂȘme coup que lâannĂ©e derniĂšre, jâvais pas pouvoir me retenir⊠» Le jeune prĂ©fet lui lança un regard Ă©loquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tĂȘte vers le plafond. Putain. Il se sentait quand mĂȘme bien lĂ . En osmose avec lui-mĂȘme, entourait de ses amis, sous une agrĂ©able chaleur. Tout ce quâil fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les cĂŽtes. Il baissa les yeux et lança nĂ©gligemment sa lame sur la table posĂ© Ă quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche Ă bavarder tout les quatre ? Possible⊠Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - DĂ©solĂ©e du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite Ă gauche, comme ci elle cherchait quelquâun. CâĂ©tait habituel, et sâen en devenait maladif cette sensationâŠcelle dâĂȘtre de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle Ă©tait comme paralysĂ©e. A force, elle ne regardait mĂȘme plus autour dâelle, sachant par cĆur ce qui allait se produire car câĂ©tait sans cesse le mĂȘme scĂ©nario. Elle restait lĂ , figĂ©e, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathĂ©tique⊠TrĂšs vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais nâĂ©coutait rien. Les seuls mots qui en sortirent Ă©taient virĂ©e nocturneâŠsans moi⊠». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais câĂ©tait diffĂ©rent. Junie prenait ça comme un dĂ©fi, ou du moins câest ce quâavait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pourâŠrespirer. Oui, la jeune Alice Ă©tait trĂšs loin dâĂȘtre la fille que lâon croit, oui, trĂšs loin. Ses ongles ornĂ©s de vernis rouge laquĂ© se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle Ă©tait incapable de faire le moindre geste, ses yeux dâun gris Ă©tincelant formant une barriĂšre entre son esprit etâŠle reste. Sâen Ă©tait trop, et mĂȘme lâarrivĂ©e de Ian ne changea rien Ă la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres sâĂ©taient remis Ă parler, dâaprĂšs les moindres parcelles de phrases quâelle captait, ils titillaient Ian en lâappelant JamesâŠil dĂ©testait ça. Ses mains tremblaient peu Ă peu, et dans sa mystĂ©rieuse quĂȘte de solitude, elle avait trouvĂ© les rĂ©pondes ; elle nâĂ©tait quâune moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, lâair de rien, se dirigeant vers lâautre cĂŽtĂ© de la salle commune. Sa petite taille faisant quâelle pouvait passĂ© nâimporte oĂč, elle se faufila derriĂšre un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes aprĂšs, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le dĂ©froissa, espĂ©rant quâils ne lâavaient pas remarquĂ©âŠde toute façon câĂ©tait sĂ»rement le cas. Câest vrai, elle Ă©tait trĂšs discrĂšte, mĂȘme si des fois elle avait lâenvie dâhurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout Ă coup aux mots quâelle avait employĂ©s dans son parchemin, elle se rapprocha du canapĂ© oĂč Ă©tait Junie, sâasseyant Ă cĂŽtĂ© dâelle. Dâune traite, elle reprit sa plume, la trempant dĂ©licatement dans lâencre, puis elle se remit Ă Ă©crire des mots comme la fin », les autres », diffĂ©rents » ou nulle ». CâĂ©tait un cercle vicieux, un peu comme dans celui oĂč Ă©tait tombĂ© Atreus et sa lame. Alice nâavait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire quâelle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faibleâŠStop. Elle continua Ă Ă©crire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. Dâun coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement⊠Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moiâŠenfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r »Miracle, elle avait su dĂ©crochĂ© une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice nâosa mĂȘme plus relever la tĂȘte, faisant toujours semblant dâĂ©crire. Dâailleurs, ce quâelle avait Ă©crit nâavait aucun sens⊠Des phrases incomprĂ©hensibles, remplissant le parchemin dâune encre noire tellement sombre quâon aurait penser Ă du sang. Le crĂ©pitement des flammes faisait quâelle nâentendait plus le ronronnement de Puckâ, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir Ă ses cĂŽtĂ©s, elle se sentait en sĂ©curitĂ©, prĂȘte Ă braver milles et une Ă©tapes, milles et un dangers⊠Mais finit, son silence Ă©tant rompu, elle jeta sa plume au niveau de lâencrier, se fourrant dans le canapĂ© moelleux. Son regard, en prioritĂ©, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce quâune petite phrase. Mais le silence nâest-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout Ă la fois, sans quâon prenne la peine dâouvrir la bouche, sans quâon prenne la peine de tout gĂącher⊠Boom-Boom. Son cĆur battait la chamade, comme dâhabitude. Alice Ă©tait trop nerveuse, trop mĂ©lancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien lâhomme de PrĂ©-au-Lard⊠Levant les yeux au ciel pour empĂȘcher ne serait-ce quâune larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas dĂ©ranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier⊠Alice avait eut lâoccasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour quâelle comprenne quâelle ne valait rien, quâelle Ă©tait bĂȘte, moche, sans cĆur etâŠpassons les dĂ©tails. Xavier Ă©tait un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et AtreusâŠIls Ă©taient courageux. Je compatis »Elle avait lancĂ© cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir rĂ©ellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on lâaimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien dâautreâŠcâĂ©tait de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ăa, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment quây vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayĂ© de ne pas y faire attention. Mais quand ils Ă©taient au moins deux, câĂ©tait un peu moins Ă©vident. Ăa faisait des annĂ©es, et des annĂ©es, plus prĂ©cisĂ©ment sept ans quâil leur disait de ne pas lâappeler James, et pourtant, le message ne semblait pas sâĂȘtre rendu aux oreilles de Junie et dâAtreus. Encore moins eux. Ils trouvaient mĂȘme ça drĂŽle. Regardez juste le sourire dâAtreus en ce moment mĂȘme. Sans rire. MĂȘme Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian lâavait peut-ĂȘtre un peu forcé⊠Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de lâappeler Ian, Ă©tait Alice, et le jeune homme lui en Ă©tait trĂšs reconnaissant. Lâanglais serra lĂ©gĂšrement les dents sans que ça paraisse, une lĂ©gĂšre lueur dâagacement passa dans son regard foncĂ© et se contenta dâĂ©couter la rĂ©ponse du jeune irlandais, Ă propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua quâAlice sâĂ©tait Ă©clipsĂ© le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il nâen dit pas moins. P'tin. Jâte jure, sâil nous refait lâmĂȘme coup que lâannĂ©e derniĂšre, jâvais pas pouvoir me retenir⊠»à son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e. Quand les deux jeunes hommes sây mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer Ă les agacer. Xavier a lui tout seul devait ĂȘtre le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrĂ©ment pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours quâil y ait quelquâun Ă son service. Et surtout, il ne fallait pas dĂ©ranger MONSIEUR durant ses prĂ©cieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantĂ©e de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tentĂ© de lâaider, mais ça lâavait Ă©tĂ© sans succĂšs. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancĂ©e. Tu tâsouviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas sâtĂącher les mains⊠» Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses Ă©paules. Il se mit Ă faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils Ă©taient tous rĂ©unis autour du feu, chacun installĂ© sur un fauteuil. Atreus et Ian dâun cĂŽtĂ©. Junie et Alice de lâautre. NâĂ©taient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncĂ© vers la sixiĂšme annĂ©e. CâĂ©tait lui, quâelle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant dâhausser les Ă©paules. Cette annĂ©e, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ăa, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier sâen donnait Ă cĆur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment quâelle avait eu Ă faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlĂ© durant les cours de Ian et cie ? Si ça nâaurait pas Ă©tĂ© dâun minimum de contrĂŽle, Ian lui aurait facilement parlĂ© Ă deux pouces du visage. Ce type allait dĂ©cidĂ©ment trop loin. Pourtant on se demandait bien ce quâil faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvĂ© la moindre parcelle dâintelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, Ă©coutant le silence. Il se pencha lĂ©gĂšrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au cĂŽtĂ© dâAtreus. Ătrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrĂȘta son chemin lorsquâil percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment mĂȘme, Atreus et lui, faisait un duo dâenfer. Les deux mecs Ă©craser dans leurs coussins⊠Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsquâelle Ă©tait dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. CâĂ©tait une de ses nuits oĂč il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et dâun cĂŽtĂ©, câĂ©tait peut-ĂȘtre mieux ainsi. Qui allait ĂȘtre le prochain Ă briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'ocĂ©an, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'Ă©tait ce gĂ»t de l'adrĂ©naline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne dĂ©crocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglantĂ© sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la rĂ©ponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrĂ©e a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina trĂšs vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle Ă©tait dans ses pensĂ©es, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. Jâte jure, sâil nous refait lâmĂȘme coup que lâannĂ©e derniĂšre, jâvais pas pouvoir me retenir⊠»Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'Ă©tait tellement puĂ©rile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne rĂ©flĂ©chissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu tâsouviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas sâtĂącher les mains⊠» Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A prĂ©sent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait ĂȘtre aussi chiant ? Elle ne comptait mĂȘme plus le nombre de fois oĂč, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la mĂȘme façon, celle ci soupirait lui explicait que mĂȘme si c'Ă©tait son seul choix, elle prĂ©fĂ©rait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses Ă©tats ce jour lĂ . Elle avait Ă©tĂ© tellement en colĂšre qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle Ă©tait montĂ©e directement dans le dortoir et lui avait collĂ©e sa main sur sa joue. C'Ă©tait la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portĂ©e la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimĂštres des flammes, elle retourna sa tĂȘte vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspĂ©rĂ© sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colĂšre, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la lĂ©gĂšre tension de Junie lorsquâil lui avait montrĂ© ses bras mutilĂ©s. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni dâailleur Ă Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles dâaide et leurs essais de le convaincre dâarrĂȘter. Et voilĂ comment il remerciait ses amis en continuant. Tâes vraiment quâun sale con Atreus. » Il lâentendait cette voix dans sa tĂȘte. Il lâentendait mais ne faisait rien. CâĂ©tait plus fort que lui. Câest tout. Une sorte dâaddiction Ă la scarification. Mais en voyant ses mais Ă ses cĂŽtĂ©s, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cĆur qui apparut. Il baissa la tĂȘte doucement et son regard mĂ©lancolique se perdit dans lâocĂ©an des flammes. La voix dâAlice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moiâŠenfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r » LâIrlandais sourit doucement avant mĂȘme de tourner la tĂȘte vers elle. Il lui adressa un regard chargĂ© de tendresse, dâaffection avant de lui rĂ©pondre. Atreus - Pas dâproblĂšme Alice. Tâsais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il dĂ©tourna le regard vers Junie, tout en gardant son lĂ©ger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment jâvoulais ĂȘtre seul ce soir pour⊠Pour câque vous savez. Vous nâaurez pas apprĂ©cier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure Ă la lueur du feu. Les plaies brillantes Ă©taient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. CâĂ©tait vrai. Il fallait le dire. CâĂ©tait complĂštement con ce quâil faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sĂ»r ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi câĂ©tait vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. CâĂ©tait ça quâil devrait faire. Câest ce quâil lĂącha sans prĂ©ambule. Atreus - Jâvais me calmer de ce cĂŽtĂ©-là ⊠Pour vous. » Atreus Ă©tait conscient quâil aurait du prendre cette dĂ©cision depuis des annĂ©es. La volontĂ©. CâĂ©tait ça quâil lâavait empĂȘchĂ©. La volontĂ© dâarrĂȘter ne lui Ă©tait jamais venu. Jamais. MĂȘme pas pour eux. Il secoua la tĂȘte doucement. Allez. On oublie ça. La soirĂ©e Ă©tait belle, agrĂ©able. Il nâavait aucune envie de plomber lâambiance avec ses petits problĂšmes merdiques, sans intĂ©rĂȘts. La discussion Ă©tait en câmoment sur Xavier. Ce connard. Ian Ă©voquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, mĂȘme sa mĂ©lancolie passagĂšre disparu. Comment quâil le dĂ©testait câgars. Ce dernier sâen apercevait bien mais persistait Ă toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui lâavait cognĂ© ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà ⊠A chaque fois il remettait ça sur nâimporte qui. MĂȘme Alice y avait eu droit. Ce jour-lĂ , le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal Ă ne pas lâĂ©corcher vif. LâIrlandais sâaperçu quâil avait serrĂ© les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant dâentendre Junie profĂ©rait sa colĂšre, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspĂ©rĂ© de la jeune femme fit naĂźtre un sourire sur le visage dâAtreus. Junie et ses rĂ©actions crĂ». Il lâadorait. Fallait dire aussi que leur caractĂšre Ă©taient lĂ©gĂšrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent lâirlandais, elle nâĂ©tait pas la derniĂšre Ă dire ce quâelle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas sâempĂȘcher dâaller frapper lâautre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin quâavait jetĂ© Ian sur la table, prĂȘt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin Ă©trange. Avec un air intĂ©ressĂ©, il montra de la tĂȘte le livre Ă James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce nâĂ©tait peut-ĂȘtre pas le mieux Ă demander pour changer de sujet mais câest tout ce quâil avait trouvĂ©. De plus, le motif du bouquin lâattirait. Ătrangement⊠Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Quâen si peu de temps, quâen quelques secondes, Alice sâĂ©tait mise Ă sourire. CâĂ©tait son premier vrai » sourire de la soirĂ©e, et elle sentait que ça nâallait pas ĂȘtre le dernier. Ian lui lança un sourire, quâelle lui rendit immĂ©diatement. Puis Atreus prit une bonne rĂ©solution, quâil nâavait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait quâil y arriverait, et de toute façon, elle serait lĂ pour lâĂ©paulerâŠtous serait lĂ pour lâaider. Et puis ils se remirent Ă parler de Xavier⊠Alice Ă©tant la plus petite des Quatre, il avait facile Ă lui pourrir lâexistence. Un jour, il avait mĂȘme rĂ©ussit Ă la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vĂ©ritĂ©s, forçant un peu trop au goĂ»t dâAlice sur les mots tu viendras dans mon lit » et tâes vraiment nulle ». Mais la jeune SixiĂšme AnnĂ©e ne sâĂ©tait pas laissĂ©e faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire quâil se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle Ă©tait habituĂ©. Il avait sĂ»rement raison elle Ă©tait bonne Ă rien, mais la seule chose qui Ă©tait sĂ»re, câest que quoi quâil dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos â ce qui Ă©tait toujours marrant, dâailleurs. Soupirant rien quâen y repensant, la jeune Brown Ă©couta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice sâĂ©tait mise Ă rire, un rire presque inaudible quâon remarquait grĂące Ă son sourire. Pour lâenfoncer encore plus, ça, Junie Ă©tait toujours lĂ ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, câĂ©tait loin dâĂȘtre rĂ©ciproque⊠Un jour je lâai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de lâannĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte quâil ne voit mĂȘme pas que personne ne lâaime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir⊠Et jâen sais quelque chose, jâai eut lâoccasion de parler avec Jesse, et il mâa dit quâĂ chaque fois que Xavier mâinsultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie lâa trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me lâa dit, jâĂ©tais plié⊠Câest la preuve que, quand mĂȘme, on nâest pas les seuls Ă ne pas pouvoir le voir en peinture. Dâailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des fillesâŠRien quâen y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comĂ©rages. Ca, sâĂ©tait le domaine dâAlice et Junie. Bon, sĂ»rement pas de Ian et dâAtreus, mais des fois il y en avait des trĂšs drĂŽle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grĂące au feu mais il y avait toujours un petit courant dâair glacial⊠Il Ă©tait tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris Ă©taient encore grand ouverts, se posant sur tout et nâimporte quoi. Elle repensait Ă Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tĂŽt, quâil ne pourrait pas lui dire non pour une virĂ©e nocturne. Elle sâimaginait dĂ©jĂ y aller avec eux depuis la rentrĂ©e, elle nâen avait fait que deux. Habituellement, câĂ©tait rare quand elle nâen faisait pas, mais lĂ , câĂ©tait carrĂ©ment le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gĂącher ce si bon moment. Le silence sâimposa durant quelques secondes, des secondes oĂč le cĆur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis sâarrĂȘtaient, puis elle recommençaientâŠcâĂ©tait un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel Ă©tait la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa dây penser quâen la voix dâAtreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne sâen doutait pas. Le regard Ă prĂ©sent dirigĂ© vers Atreus, elle lâĂ©couta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immĂ©diatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture Ă©tait Ă©trange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotchĂ© sur votre canapĂ©, oui, câĂ©tait sĂ»r ce livre attirĂ© lâĆil. A sa vue, Alice se dit quâelle devrait passĂ© plus souvent de temps Ă la BibliothĂšque. Câest vrai ça, elle nây allait jamais Ă part quand elle devait y rejoindre quelquâun, mais Ă chaque fois quâelle y mettait les pieds, elle Ă©tait forcĂ©e. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puckâ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A prĂ©sent, elle se voyait trĂšs mal dormir comme lui, surtout maintenant⊠James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ DĂ©solĂ© du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncĂ©, un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, suite au comportement de cette derniĂšre. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent Ă des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait quâil ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. CâĂ©tait probablement ceux qui nâavaient aucunement peur des consĂ©quences qui pouvaient y avoir sâils osaient touchĂ©s Xavier. Il Ă©tait une sorte de dĂ©fouloir au final⊠Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice sâĂ©taient mis Ă rire, et Ian observa la sixiĂšme annĂ©e lorsquâelle prit la parole. Un jour je lâai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de lâannĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte quâil ne voit mĂȘme pas que personne ne lâaime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir⊠Et jâen sais quelque chose, jâai eut lâoccasion de parler avec Jesse, et il mâa dit quâĂ chaque fois que Xavier mâinsultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie lâa trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me lâa dit, jâĂ©tais plié⊠Câest la preuve que, quand mĂȘme, on nâest pas les seuls Ă ne pas pouvoir le voir en peinture. Dâailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des fillesâŠRien quâen y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si lâon sort du contexte de MĂ©faits Accomplis. Jâaurais pu vous dire que Xavier Ă©tait le portrait crachĂ© de Malefoy, mais Ă Serdaigle. Prenez ce comportement et transposĂ© le sur Xavier et ça reviendra au mĂȘme. Retournons au RP Ă prĂ©sent. Un nouveau sourire apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e, avant dâĂ©changer, Ă nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins nâĂ©taient pas spĂ©cialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans lâĂ©cole de sorcellerie. Ian nâĂ©tait pas le type qui allait en raconter, mais plutĂŽt Ă©couter. Par exemple, lorsquâil attendait quelquâun dans les couloirs et quâun groupe de personnes prĂšs de lui parlent de quelque chose qui pouvait sâavĂ©rer intĂ©ressant, il Ă©coutait. Sinon, sans plus. Savoir quâuntel ou untel Ă©tait sortit lui ou lâautre, au final, ça ne changeait strictement rien Ă sa vie. Mais savoir que Jesse dĂ©fendait Ă©galement Alice, eut une sorte dâeffet de soulagement pour le septiĂšme annĂ©e. Pour ce qui Ă©tait de Peter⊠Sans commentaire. James tourna, Ă son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, Ă©tait toujours bien agrĂ©able. Sortant un peu de lâhabituel Ă©touffant de tous les Ă©lĂšves en plein jour. La nuit Ă©tait une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum⊠Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. CâĂ©tait vrai quâil Ă©tait Ă©trange, et câĂ©tait bien ça qui obsĂ©dait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il nâarrivait pas Ă trouver quoi. Et ça, ça lâĂ©nervait. Je ne sais pas trop⊠Câest assez complexe Ă vrai dire⊠» commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et lâattira contre lui, un drĂŽle de phĂ©nomĂšne se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusquâĂ temps quâelle tombe sur le sol, alors que Ian Ă©loignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-mĂȘme. Sur le cĂŽtĂ©, les pages avaient Ă©tĂ© tĂąchĂ©s lĂ©gĂšrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte dâaimant. Le jeune homme sâaccroupit et rapprocha / Ă©loigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait mĂȘme. Ok⊠Ăa, câest pas normal⊠»Petite expĂ©rience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mĂštres plus loin. La lame tourna sur elle-mĂȘme et, comme je lâai dit, comme un aimant, elle glissa Ă la vitesse de la lumiĂšre juste Ă cĂŽtĂ©, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
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rien qu une larme dans tes yeux paroles
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus
Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Back to 4 Juin - 2355 BACK TO YOU⊠Tu Ă©tais au travail, une journĂ©e comme les autres pour toi. Tu avais depuis quelque temps beaucoup pensĂ© Ă ta mĂšre, Ă pouvoir la rencontrer d'une certaine maniĂšre. Tu avais pris le temps de faire pas mal de recherche et tu avais concoctĂ© un breuvage prĂ©vu Ă cet effet. Heureusement, tu avais Charlie avec toi au magasin qui pouvait te permettre de te concentrer sur ton projet tandis qu'elle s'occupait des clients. AprĂšs tout, en ce qui concernait tout ce qui touchait aux potions et autres breuvages, tu savais que tu ne pouvais pas douter des capacitĂ©s de ton employĂ©. Tu savais qu'elle Ă©tait une sorciĂšre bien que tu ne lui avais jamais dit. Tu Ă©tais avec un client en train de le conseiller tandis que la blonde Ă©tait derriĂšre le comptoir. Tu avais rĂ©ussi Ă satisfaire la demande de ton client et ce dernier s'en alla vers la caisse tandis que la cloche du magasin sonna, indicateur qu'une nouvelle personne entra dans l'Ă©tablissement. Tu Ă©tais tellement ravie que ton magasin soit si populaire et que tu ne sois pas en manque de clients. Enfin, il faut dire qu'avec une ville comme Tulsa, berceau des mystĂšres de la vie, berceau du royaume de la nuit. Tu allas donc voir le client en question quand tu vis cet homme, ton cĆur eu un ratĂ©. Il Ă©tait tellement beau, comme si, d'une certaine maniĂšre, tu le connaissais. Sa beautĂ© et sa prestance te frappĂšrent en premier lieu tandis que tes joues se rĂ©chauffĂšrent et que ton cĆur cognait ardemment dans ta poitrine. Cela te perturba davantage Ă©tant donnĂ© dont cela ne t'Ă©tait pas arrivĂ© depuis la mort de ton fiancĂ©, mort que tu venais rĂ©cemment d'en faire le deuil. Tu avais pris l'habitude de perdre tes proches depuis tes parents et celui que tu aimais. Tu repris rapidement contenance Monsieur, puis-je vous aider ? » Fis-tu alors en souriant grandement tandis que ton esprit continuait de chercher d'oĂč est-ce que tu avais bien pu le connaĂźtre pour que ce visage te sois si familier Vous cherchez quelque chose en particulier ? » Repris-tu alors en essayant d'ĂȘtre le plus professionnel possible. Tu Ă©tais aprĂšs tout la patronne des lieux et il serait dĂ©placĂ© qu'en tant que dirigeante, tu ne puisses pas ĂȘtre maĂźtresse de toi-mĂȘme en ce lieu. Bien que tu savais que Charlie pour t'occuper des autres clients. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 047Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸ La journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Trop longue mĂȘme. Alexys avait enchaĂźnĂ© plusieurs gardes. Les malades continuaient d'affluer et le travail ne se faisait pas attendre. Cela faisait 72 heures qu'il n'avait pas quittĂ© les locaux de l'hĂŽpital. Heureusement pour lui, personne ne l'attendait Ă la maison. Son cousin Ă©tant parti en voyage, Alexys avait tout le loisir de s'atteler Ă ce qu'il savait faire le mieux Aider les humains. Bien qu'Ă©tant un vampire qui s'abreuvait du sang des ĂȘtres humains, il avait Ă cĆur d'essayer par tous les moyens possibles de les sauver. Ces derniers jours, une patiente en particulier, avait retenu son intention. C'Ă©tait une petite mamie, pas plus vieille que la sienne. Elle Ă©tait tombĂ©e dans la rue. Rien de bien grave, si ce n'est une belle fracture du fĂ©mur. La dame avait quittĂ© les urgences pour le service de chirurgie orthopĂ©dique depuis un moment, mais Alexys passait chacune de ses pauses Ă ses cĂŽtĂ©s. Le jeune homme aimait beaucoup sa compagnie. Depuis qu'il Ă©tait revenu Ă Tusla, sa vie Ă©tait bien solitaire, sa grand-mĂšre Ă©tant restĂ©e en Irlande. Avoir cette petite dame dans les parages, lui faisait beaucoup de bien. Alexys s'Ă©tait mĂȘme surpris Ă lui parler un peu de sa vie. Bien sĂ»r, il Ă©tait loin de lui avouer son petit secret, mais leurs conversations l'amusaient. Alors qu'Alexys quittait l'enceinte de l'hĂŽpital, l'un de ses collĂšgues le rattrapa. La petite mamie avait besoin d'huile de lavande et de citron pour son diffuseur qu'elle emmenait toujours avec elle. Il Ă©tait vrai que le jeune homme s'Ă©tait proposĂ© pour lui en ramener au besoin mais ... Pourquoi aujourd'hui ? Il avait tellement Ă faire. Et puis, oĂč allait-il trouver ça ? Tusla avait bien changĂ© depuis le temps oĂč il y avait vĂ©cu. Pas le choix. Alex s'arma de son tĂ©lĂ©phone et lança une recherche internet. Le nom d'une boutique sortit du lot. Le LusanaĂ«l, 5 minutes Ă pied. Parfait ! En arrivant devant la devanture du magasin, Alexys s'arrĂȘta. Sortant le petit mot qui lui avait Ă©tĂ© donnĂ© de la part de la mamie, il tenta de se rappeler des huiles pour lesquelles, il se trouvait ici. Quand cela fĂ»t encrĂ© dans sa mĂ©moire, il pris une grande inspiration et entra. A l'intĂ©rieur, il y avait des gens mais pas non plus la cohue. Les vendeuses avaient l'air occupĂ©e donc il patienta sagement en regardant les diffĂ©rentes pierres. Alexys n'Ă©tait pas friand de ce genre de croyance, mais cela ne l'empĂȘchait pas de les trouver jolies Ă regarder. D'ailleurs, en parlant de jolie Ă regarder ... Son regard fĂ»t attirĂ© par l'une des vendeuses. La brunette. AĂ«lynn. Mais que faisait-elle lĂ ? A premiĂšre vue, elle semblait travailler ici. Dommage. Alexys eu bien envie de fuir devant la dĂ©couverte, mais trop tard, la brunette se dirigea dĂ©jĂ vers lui pour le renseigner. Quand AĂ«lynn lui demanda si elle pouvait l'aider, Alexys resta stoĂŻque ... Comme paralysĂ©. Pour ĂȘtre honnĂȘte, il ne s'attendait pas Ă tomber sur elle. Autrefois, il l'aurait bien envoyĂ© balader mais aujourd'hui, l'enjeux avait changĂ©. Le jeune homme devait absolument se reprendre. Et son sourire ... Oh misĂšre. " Je ... Hum ... A vrai dire ... Oui. J'aurai besoin d'huiles essentielles de lavande et de citron, s'il vous plait. "Ce ton embarrassĂ© ne lui convenait vraiment pas, mais que faire ? La brunette ne semblait pas le reconnaĂźtre. A vrai dire, il sentait une pointe de dĂ©ception lui parcourir les veines. Depuis son retour, le jeune homme ne s'Ă©tait jamais vraiment approchĂ© de la jeune femme, l'observant de loin, comme un vieux pervers. Si dans sa jeunesse, elle ne l'avait jamais intĂ©ressĂ©, aujourd'hui, la donne avait changĂ©e. Quelque chose qu'il ne pouvait expliquer l'attirer inĂ©vitablement vers elle. Sortant de sa stupeur, Alexys tenta une petite approche furtive afin de voir si la brunette ne gardait pas quelques souvenirs du petit garçon qu'il avait Ă©tĂ©, il fĂ»t un temps." Vous me rappelez beaucoup une jeune fille que j'ai connu, il y a quelques annĂ©es ... "DĂ©routant. Ca l'Ă©tait. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 5 Juin - 1151 BACK TO YOU⊠Il Ă©tait vrai qu'en te levant le matin, tu Ă©tais loin de te douter de ce qu'il allait pouvoir se passer dans la journĂ©e, tu avais des talents certes, mais tu n'avais pas le pouvoir de prĂ©monition. Quand bien mĂȘme certains pouvaient le penser, tu n'Ă©tais pas une sorciĂšre. Tu avais acquis l'art des plantes, des runes, des potions... Mais tu n'avais pas de pouvoir magique ou quel autre don. Bien souvent, on l'oubliait, mais tu Ă©tais une chasseuse comme tes frĂšres et sĆurs, enfin, tu l'avais dans le sang. En fronçant les sourcils, tu avais l'impression d'ĂȘtre une cracmol comme dans la littĂ©rature d'Harry Potter, avoir les gĂȘnes, mais pas le pouvoir. Pourtant, tu avais bien la force surhumaine ainsi que l'ouĂŻe, l'agilitĂ©, le rĂ©flexe et la guĂ©rison rapide des chasseurs. Toutes ces caractĂ©ristiques qui te diffĂ©renciaient des simples mortels. Tu secouais la tĂȘte et tu te concentras sur ta tĂąche maintenant que tu avais pus venir en aide Ă une personne, c'est Ă ce moment-lĂ que la cloche retentit, indiquant qu'un nouveau client entra dans ton magasin. Et lĂ , comme si plus rien existait autour de toi, tu ne voyais que lui. Ce grand blond, les cheveux bouclĂ©s et les yeux d'un bleu ocĂ©an tel qu'on pourrait s'y noyait. Ton cĆur dĂ©jĂ conquis Ă cette simple vision, cela te perturbait au plus au point et pour cause, premiĂšrement tu Ă©tais certaines de le connaĂźtre, ton Ăąme peut-ĂȘtre ? Il est dit que certaines Ăąmes sĆur pouvaient se reconnaĂźtre instantanĂ©ment, mais tu savais bien que c'Ă©tait autre chose. DeuxiĂšme, c'Ă©tait bien l'unique et premiĂšre fois que ton cĆur battait de la sorte et depuis la mort de ton fiancĂ© jamais tu ne l'aurais cru possible.... D'autant plus, que d'aussi loin que tu t'en souviennes, mĂȘme pour ce dernier, il n'avait jamais bats de la sorte. Tu t'en voulais instantanĂ©ment, mais aprĂšs tout, tu Ă©tais libre et tu ne le lui devais plus rien maintenant qu'il Ă©tait parti rejoindre l'au-delĂ , que son Ăąme sâapprĂȘtant Ă habiter un autre corps. Car oui, tu croyais en la rĂ©incarnation, tout comme en Karma... Sinon, comment cela pouvait ĂȘtre possible qu'autant de malheur s'abatte sur toi ? Si ce n'est que tu devais ĂȘtre une horrible personne dans ta vie antĂ©rieure. Enfin, calmant ton cĆur fougueux et reprenant tes esprits, tu fis ton devoir de vendeuse et te renseignant sur la demande de ton client C'est pour quel usage ? Demandas-tu ? » Te renseignas-tu donc Nous allons avoir de la citronnelle de Java pour ce qui recommandĂ© pour d'arthrites, tendinites ou rhumatismes ou alors celle de Ceylan plus pour les moustiques ou dĂ©mangeaisons » Fis-tu donc tout en prenant un sachet d'huile de lavande. Tu le regardais, toujours troublĂ©e, fascinĂ©e et attirĂ©e par lui. Tu fronças les sourcils quand il te disait te connaĂźtre. Tu ouvris la bouche puis tu la refermas ne sachant pas quoi dire. Alors peut-ĂȘtre que lui aussi pensait comme toi. Peut-ĂȘtre ressentait-il aussi ce que tu ressentais ? Tu rougis immĂ©diatement Ă cette pensĂ©e et tu te maudis. Tu Ă©tais pourtant si douĂ©e pour cacher tes Ă©motions habituellement, mais avec lui, c'Ă©tait plus compliquĂ©e Tu vis Ă Tulsa depuis longtemps ? » Demandas-tu bien que dans ta mĂ©moire, ce visage et cette allure imposante Ă ton cĆur, tu l'aurais reconnue. Cependant, tu n'avais jamais quittĂ© cette ville alors tu ne pouvais connaĂźtre que d'ici. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 1403Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸ Pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte. Alexys n'y connaissait strictement rien aux plantes, huiles et autres objets mystiques. Le jeune homme avait bien conscience que les vampires n'Ă©taient pas les seules et uniques crĂ©atures qui existaient et cohabitaient ensemble. Des loups, des sorciĂšres et mĂȘme des chasseurs. Quel beau petit monde. Tout cela, il l'avait dĂ©couvert lorsqu'il avait rĂ©alisĂ© des recherches aprĂšs sa transformation. Tusla semblait compter dans sa population bon nombre de ses crĂ©atures. A l'Ă©poque, il lui avait semblĂ© essentiel de revenir sur sa terre natale afin de dompter sa nouvelle nature. La seule chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait de devoir dompter la nouvelle nature de son cousin. Grand bien lui fasse, ce dernier avait dĂ©cidĂ© de faire le tour du monde. Un problĂšme de moins dans les environs, c'Ă©tait dĂ©jĂ pas contre, la deuxiĂšme chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait que la petite moche d'Ă cĂŽtĂ© qui aujourd'hui, Ă©tait devenue une trĂšs belle chenille, provenait d'une cĂ©lĂšbre famille de chasseurs. Etant enfant, la famille n'avait pas vraiment d'importance. Mais aujourd'hui, l'histoire Ă©tait tout autre. C'est surement la raison pour laquelle Alexys n'avait jamais vraiment osĂ© s'approcher d'AĂ«lynn. Bien qu'elle l'attirait beaucoup. Tragique existence. Comment faire quand l'objet de vos dĂ©sirs, pouvait se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre l'objet de votre perte ? Bien qu'Alexys aie une fĂącheuse tendance aux comportements auto-destructeurs, il n'Ă©tait pas suicidaire pour autant. Leur rencontre aujourd'hui, Ă©tait tout bonnement fortuite. Une simple demande d'une grand-mĂšre qui avait su effleurer le cĆur de pierre du jeune homme. Alors qu'Alexys buvait ses paroles d'une façon trĂšs niaise, la carotide de la jeune femme attira son attention. L'odeur de son sang mĂȘme, l'attirait. Comme un doux parfum dont ses narines, ne pouvaient se dĂ©faire. Quoiqu'il en soit, ses instincts de vampire se devaient de disparaĂźtre aussi vite que l'Ă©clair. Le jeune homme ne pouvait se trahir aussi facilement. Sa main se posa dans sa chevelure blonde, jouant quelques instants avec une boucle afin de donner l'impression d'une rĂ©flexion intensive. Ou pas. " Je pense que la citronnelle de Java fera l'affaire. C'est pour l'une de mes patientes qui a quelques soucis de hanche pour le moment. C'est elle qui m'a demandĂ© de lui en rapporter. Les huiles et les cailloux, ce ne sont pas vraiment mon domaine de prĂ©dilection pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte. "Instant live OK. Oui bon, la petite explication n'Ă©tait pas vraiment nĂ©cessaire, mais Alexys ressentait un rĂ©el besoin de se justifier. Le jeune homme ne voulait pas passer pour un petit ĂȘtre fragile qui avait besoin de ses petites huiles pour soigner des maux de grand-pĂšre et il ne voulait surtout pas que la jeune femme pense qu'une autre femme se cachait sous cette demande. Il Ă©tait bien connu que ce genre de pratique Ă©tait trĂšs souvent fĂ©minine. Se grattant doucement la tĂȘte pour cacher une petite gĂȘne, Alexys se rendit compte que les joues de la jeune femme, avaient rougi Ă sa question. Cependant, cela fit vite effacĂ© par des sourcils froncĂ©s et une mine qui en disait long. Apparemment, la tĂȘte du jeune homme ne lui disait rien. Dommage. Cela aurait tellement Ă©tĂ© plus simple pour l'aborder. Arriver avec des gros sabots et lui dire Hey Meuf ! Tu me plais. Ăa fait un moment que je t'observe Ă la façon de Joe Goldberg dans la sĂ©rie You. Non. Hors de question. Croisant les bras derriĂšre son dos, Alexys lui servit son plus beau sourire. Ce sourire, il en avait dĂ©jĂ fait des ravages. C'Ă©tait son meilleur numĂ©ro de charme pour attirer l'attention des jolies filles. Jusqu'Ă prĂ©sent, cette technique avait toujours portĂ©e ses fruits." Je suis originaire de Tusla mais j'ai dĂ» quitter la ville quand j'Ă©tais enfant pour rejoindre de la famille Ă l'Ă©tranger. Maintenant, ça doit faire environ deux ans que je suis revenu dans le coin. "AĂ«lynn semblait troublĂ©e par l'interrogation du jeune homme. Ne voulant pas la brusquer puisqu'il avait enfin rĂ©ussi Ă lui adresser quelques mots, il soupira lĂ©gĂšrement avant de continuer sur sa lancĂ©e." Mais ne vous en faites pas. J'ai surement dĂ» me mĂ©prendre. J'ai connu quelqu'un qui vous ressemblez beaucoup dans ma jeunesse. C'est surement la raison pour laquelle, je vous ai confondue. Veuillez m'excuser pour ma maladresse. " Une petite rĂ©vĂ©rence Ă la maniĂšre des bourgeois. L'arme ultime de sĂ©duction. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 6 Juin - 016 BACK TO YOU⊠Et tu Ă©tais lĂ , Ă faire ton travail de vendeuse tandis que ton esprit et ton cĆur n'Ă©taient plus vraiment lĂ , distrait par la beautĂ© de ce jeune homme. Tu avais du mal Ă garder contenance et ton sĂ©rieux, mais tu Ă©tais la propriĂ©taire de ces lieux. Alors quand il te parla de ce qu'il voulait, tu sautais sur l'occasion pour parler des produits, cela t'obligeait Ă ne pas penser Ă l'impact de ses lĂšvres sur les tiennes, de ses baisers le long de ta nuque. Ce n'Ă©tait pas du tout professionnelle d'une part et d'un autre, tu ne le connaissais mĂȘme pas ce n'Ă©tait pas sĂ©rieux du tout. Tu te mis Ă rire quand il s'expliqua Effectivement alors, c'est mieux celle de Java » Fis-tu alors Les cailloux, vraiment ? » Repris-tu en levant les sourcils tout en ayant une petite moue amusĂ©. Comment pouvait-il dire cailloux » dans ce genre d'Ă©tablissement Je vous crois quand vous me dĂźtes que vous y connaissez rien » Repris-tu alors toujours le sourire aux lĂšvres tandis que tu t'Ă©loignais de lui dĂ©jĂ pour lui prendre son huile de Java et ensuite pour pouvoir reprendre tes esprits, cela ne te ferait pas de mal, au contraire. Avant de le rejoindre de nouveau, tu fis un petit dĂ©tour afin de prendre un petit bouquin concernant les runes et les pouvoirs de pierres sur l'environnement, les personnes Peut-ĂȘtre que ceci vous intĂ©resserez ? Si jamais les cailloux vous intrigues » Proposas-tu donc en reprenant exprĂšs son terme afin de la taquiner. Et tout comme le fait qu'il te paraissait si familier, le fait de parler ou bien mĂȘme de plaisanter avec lui Ă©tait comme naturel, comme si vous Ă©tiez des vieux amis de longue date. Et pourtant, ce n'Ă©tait pas le cas. IndĂ©niablement, il y avait un lien entre vous. Et d'ailleurs, ce dernier devait penser la mĂȘme chose puisque tu avais pour lui, la mĂȘme familiaritĂ©, Tulsa Ă©tait une si petite ville. Et comme une dĂ©charge Ă©lectrique, ce sourire. Bien sĂ»r que tu le connaissais, ce cĂŽtĂ© charmeur. Tu compris, tu savais Je n'y peux rien, c'est de ma famille... Si tu voyais celui de mon cousin, il est encore plus diabolique » C'Ă©tait ce que James te disait. James, l'homme avec qui tu Ă©tais, ton premier amour, ton fiancĂ©, qui est mort il y a un moment maintenant. Et comme une dĂ©ferlante de souvenirs de toi enfant, ta meilleure amie, James et son cousin jouant ensemble, son cousin qui t'agaçait Ă avoir de trop longue jambes pour pouvoir lui courir aprĂšs Alexys ? » Fis-tu avec un mĂ©lange d'affirmations et de questionnement. InstantanĂ©ment, tu reculas, te cognant par la mĂȘme occasion contre le meuble derriĂšre toi. Tu n'avais jamais eu de nouvelle de lui, il n'avait mĂȘme pas dĂ©niĂ© venir Ă l'enterrement de son cousin, pourtant si proche. Une vague de colĂšre naquit en toi et surtout, un torrent de culpabilitĂ©, comment cela se faisait-il que le seul gars qui avait rĂ©ussis Ă faire battre de ton cĆur depuis la mort de ton fiancĂ© Ă©tait le cousin de ce dernier. Une petite larme tentait de s'Ă©chapper dans le coin de ton Ćil. Tu avais l'impression d'ĂȘtre une horrible personne quand mĂȘme. Et pourtant, tu ne pouvais admettre que James avait eu raison Ă chaque fois, le sourire et le charme d'Alexys Ă©tait bien plus diabolique que celui de James, bien difficile Ă y rĂ©sister. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 6 Juin - 2148Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸ Les cailloux que la jeune femme vendait, n'intĂ©ressaient vraiment ... Vraiment ... VRAIMENT pas Alexys. Un peu macho sur les bords, le jeune homme avait toujours considĂ©rĂ© que certaines activitĂ©s Ă©taient beaucoup plus fĂ©minines que d'autres et que cela devait le rester. AĂ«lynn se serait surement bien entendu avec MĂ©mĂ© Ellis. Durant sa jeunesse, sa grand-mĂšre rangeait toujours des pierres Ă de nombreux endroits dans la maison. Alexys n'avait jamais vraiment compris pourquoi. Maintenant qu'il Ă©tait tombĂ© Ă ses dĂ©pends dans le monde surnaturel, les lubies de sa grand-mĂšre, Ă©taient peut-ĂȘtre justifiĂ©es en fin de compte. Quoi qu'il en soit, Alexys ne voulait pas se montrer impoli envers la jeune femme qui semblait dĂ©jĂ contrariĂ©e par le surnom que donnait le jeune homme aux pierres mystiques. SacrilĂšge. Voyant qu'AĂ«lynn s'Ă©loignait de quelques pas afin d'aller chercher l'huile que lui avait demandĂ© Alexys, il l'a suivi. " Vraiment. Ce n'est pas que je remets en doute leurs ''propriĂ©tĂ©s'', bien au contraire. Et puis, je n'oserai pas insultĂ© la profession d'une si jolie demoiselle. Avec votre sourire, je suis sĂ»re que vous arriveriez Ă vendre un livre Ă un aveugle. "Bien que le compliment soit trĂšs grossiĂšrement lancĂ© dans la marre aux grenouilles, Alexys Ă©mit un petit rire. Il Ă©tait vrai que plus jeune, AĂ«lynn n'avait pas vraiment marquĂ© de sa beautĂ© l'esprit du jeune homme qui a cet Ăąge, pensait plus Ă jouer au playmobil qu'Ă draguer les petites filles. Mais aujourd'hui ... Quelle beautĂ©. D'ailleurs, Alexys se souvenait trĂšs bien du jour oĂč il avait revu la jeune femme par le plus grand des hasards. Comme Ă son habitude, Alexys traĂźnait dans le parc municipal sans rĂ©el but, si ce n'est que d'observer les nuages. C'est Ă ce moment-lĂ qu'elle apparue sur le sentier non loin de lui, telle une dĂ©esse tombĂ©e du ciel. Les cheveux virevoltant Ă la brise lĂ©gĂšre, sa dĂ©marche affirmĂ©e, son sourire ... Oh son sourire... Aussi flamboyant que le soleil. L'image semblait irrĂ©elle. Jamais une femme n'avait su attirer son regard de cette façon. Sans vraiment savoir le pourquoi, du comment, Alexys se sentait comme attirĂ© vers elle. D'ailleurs, il chercha par tous les moyens Ă la revoir. Ce n'est que bien plus tard, qu'il dĂ©couvrit que la jeune femme n'Ă©tait autre que son ancienne voisine. Puisque gentiment AĂ«lynn lui tendit un livre afin de combler son manque de connaissances en matiĂšre de pierre, Alexys n'eue pas le cĆur Ă lui refuser. Tout en lui souriant, il lui pris des mains. Pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte, Alexys se sentait déçu que la jeune femme ne se souvienne pas de lui. Avec ses bouclettes blondes, il pensait ĂȘtre inoubliable dans l'esprit des gens. A croire que le ressenti que le jeune garçon avait Ă cette Ă©poque envers elle, Ă©tait rĂ©ciproque. MĂȘme si Ă son habitude, Alexys avait l'art d'insister lorsqu'il voulait obtenir quelque chose, cette fois-ci, il n'en Ă©tait rien. Cette fille avait ce genre d'emprise sur lui, sans s'en rendre compte. Il ne voulait pas la brusquer. Et puis, il avait tout son temps. AprĂšs tout, le jeune homme Ă©tait vampire maintenant. Alors s'il fallait d'abord passer par le stade connaissance et ami afin d'acquĂ©rir sa confiance, Alexys comptait bien le faire. D'ailleurs, depuis tout ce temps, le jeune homme ne s'Ă©tait mĂȘme pas posĂ© la question de savoir si AĂ«lynn avait quelqu'un dans sa vie ? De toute façon quoi qu'il en Ă©tait, Alexys comptait bien rentrer dans la vie d'AĂ«lynn comme une petite puce. D'abord, invisible. Ensuite, envahissante. Et quand on se rend compte qu'elle est indĂ©logeable, il est dĂ©jĂ trop tard, vous ĂȘtes mordu. Le jeune homme Ă©tait loin d'ĂȘtre un expert en amour. D'ailleurs, pouvait-on rĂ©ellement parler d'amour ? L'amour ? Quesako ? Alexys n'avait jamais aimĂ©. Mais par contre, rien ne l'arrĂȘter. Dans le genre dĂ©terminĂ©, c'Ă©tait un expert. L'espace d'un instant, Alexys ne compris pas trop ce qui venait de se passer. Alors qu'il s'Ă©tait rĂ©signĂ© pour cette fois, Ă ce qu'AĂ«lynn ne le reconnaisse pas, cette derniĂšre cita son prĂ©nom et se retrouva l'instant d'aprĂšs en mode table bancale contre un meuble. D'une Ăąme chevaleresque, le jeune homme s'approcha d'elle et lui tendit sa main afin de l'aider Ă se remettre sur ses jambes, tout en lui souriant." Si on m'avait dit que citer mon prĂ©nom procurait cet effet, je ne t'aurai pas demandĂ© si tu me reconnaissais ... Tu ne t'es pas fait mal, j'espĂšre ? "Un rapide coup dâĆil et de narines, permit Ă Alexys de supposer que la jeune femme n'avait rien. Le choc n'avait pas Ă©tĂ© violent mais tout de mĂȘme. Cependant, mĂȘme si Alexys avait pris l'accident comme une maladresse, il se surpris Ă se demander pourquoi AĂ«lynn avait un air aussi triste. " Si j'avais su que me revoir te dĂ©plairait autant, je n'aurai rien dit. "Le jeune homme Ă©tait un peu blessĂ© par la rĂ©action de la jeune femme. D'ailleurs, sa mine charmeuse laissa place Ă un petit rictus gĂȘnĂ©. MĂȘme s'ils n'avaient jamais Ă©tĂ© aussi proche qu'une moule et son rocher, Alexys espĂ©rait quand mĂȘme un peu plus d'enthousiasme. Un peu comme lorsqu'on retombe sur son vieux survĂȘtement prĂ©fĂ©rĂ© qu'on avait oubliĂ© de mettre au lavage depuis un mois et qu'on pensait avoir perdu ... Tenant fermement le livre que lui avait donnĂ© plus tĂŽt AĂ«lynn dans sa main gauche, le jeune homme jeta un rapide coup dâĆil Ă l'environnement. Une deuxiĂšme vendeuse se tenait Ă la caisse et par miracle, elle ne semblait pas occupĂ©e. Grimaçant lĂ©gĂšrement avant de soupirer doucement, Alexys lui sourit timidement un instant." Je ne vais pas te dĂ©ranger plus longtemps. Tu dois surement ĂȘtre occupĂ©e. "Ătait-ce l'unique Ă©chappatoire pour se tirer de cette situation plutĂŽt embarrassante. Bien qu'Alexys n'avait pas envie de partir aussi prĂ©cipitamment, la tournure de la situation lâexigeait. En tout cas, il n'aurait jamais imaginĂ© que leurs retrouvailles se dĂ©rouleraient de la sorte ... Et Me*de !! CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 7 Juin - 017 BACK TO YOU⊠Ătait-ce bien sĂ©rieux de se laisser charmĂ© de la sorte en plein milieu du magasin, de ton magasin ? Tu connaissais bien la rĂ©ponse, cela ne se faisait pas. Mais combien de personne pouvait nous transporter en si peu de seconde avec un regard, une odeur, un sourire ? C'Ă©tait juste irrĂ©elle, oui, c'Ă©tait ça le terme, lui et toute cette Ă©nergie qui se passait entre vous... Tu croyais fĂ©rocement aux Ăąmes sĆurs, tu croyais rĂ©ellement que deux personnes Ă©taient destinĂ©e tout comme tu croyais farouchement qu'on pouvait aimer plus d'une personne en mĂȘme temps et encore plus tout le long d'une vie, qu'on pouvait tomber amoureux plusieurs fois lors de notre passage sur terre, mais pour l'Ăąme-soeur, sa moitiĂ©, il n'y en avait qu'une. Et c'est donc comme cette Ă©vidence qui te frappa l'esprit... Pourtant, tu Ă©tais dĂ©jĂ tombĂ©e amoureuse, tu avais dĂ©jĂ connu l'amour, le bonheur, un homme dont tu Ă©tais persuadĂ© que tu finirais avec, oĂč tu avais rĂȘvĂ© de construire une famille, un empire avec. Tu l'avais aimĂ© de tout ton cĆur, pourtant, tu devais bien le reconnaĂźtre... MĂȘme s'il y avait eu de l'amour et de la complicitĂ©, de la tendresse et du respect... Il n'y avait pas cette attraction incontrĂŽlable, cette attirance dĂ©chaĂźnĂ©e. Tu n'Ă©tais qu'un pantin manipulĂ© par le fil du destin. Il est vrai que tu t'Ă©tais souvent imaginĂ© avoir un fil invisible au-dessus de ta tĂȘte oĂč l'univers dirigeait avec un sadisme sans borne. Tu le regardas, rougissante Ă nouveau avant de regarder le sol, son regard d'un bleu/vert si magnifique en Ă©tait trop pour toi, incapable de le soutenir sans perdre tout sens de la rĂ©alitĂ© Et vous, guĂ©rir toutes les mamies avec un regard pareil » RĂ©pliquas-tu doucement en rentrant dans son jeu, sans pour autant te mettre en danger plus que tu ne le faisais dĂ©jĂ . Et tu pensais qu'il ne pourrait pas plus t'atteindre, mais tu te trompais lourdement... Ce sourire qu'il venait d'afficher, tu le connaissais, tu le connaissais pour avoir vĂ©cu une belle histoire d'amour avec un autre qui possĂ©dait la mĂȘme, un homme que le destin t'avait arrachĂ©. Ce charme familial. En prononçant son prĂ©nom et voyant son visage confirmer que c'Ă©tait bien lui, tu reculas, comme pour te protĂ©ger de cette attraction. Tu Ă©tais pourtant si prĂȘte Ă te laisser embarquĂ©e dans ce bateau mystĂ©rieux, mais cette rĂ©vĂ©lation te fit froid dans le dos. Comment se pouvait-il que celui que tu croyais ĂȘtre ton Ăąme sĆur soit le cousin de l'homme avec qui tu devais t'unir pour la vie ? Tel un chevalier, il t'aida Ă te remettre sur pied, Ă contre cĆur, tu acceptas. Son touchĂ©, le seul touchĂ© de sa main sur la tienne te donna des frissons et ta douleur et ta colĂšre refirent surface. Bien sĂ»r que je n'Ă©tais pas ravie de le voir, tu l'avais tellement maudits ces derniĂšres annĂ©es, il avait abandonnĂ© son cousin, son cousin qui le considĂ©rait comme son meilleur ami, comme son confident Tu n'as jamais Ă©tĂ© trĂšs sympa avec moi lorsque nous Ă©tions enfants » RĂ©pondis-tu, c'Ă©tait une demi vĂ©ritĂ©, mais bien sĂ»r, ce n'Ă©tait pas les souvenirs et les comportements d'enfants qui te repoussait chez lui, c'Ă©tait le fait qu'il n'avait mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent pour les obsĂšques de ton fiancĂ©, de son propre cousin, et cela, ce n'Ă©tait pas pardonnable pour toi. Tu t'Ă©loignas de nouveau de lui, faisant attention cette fois, croisant les bras tandis qu'il avait pour projet de partir et d'aller rejoindre la caisse. Tu le laissais faire ses achats. Comme bloquĂ©e, paralysĂ©e, tu ne bougeais pas. Une part de toi te suppliait de ne pas le laisser partir comme ça, sur cette note frustration et surtout, ce n'Ă©tait pas ton genre de ne pas dire ce que tu pensais. Il quitta le magasin, tu avais dĂ©tournĂ© la tĂȘte quand tu sentis son regard une derniĂšre fois se poser sur toi. Et c'est Ă peine la porte fermĂ©e que tes jambes et ton esprit reprirent contenance. Sans un mot, tu quittais le magasin Ă ton tour James » t'Ă©crias-tu alors James tenait Ă©normĂ©ment Ă toi, il parlait souvent de toi, constamment, tu n'Ă©tais pas que son cousin, tu Ă©tais son frĂšre, son meilleur ami, son confident » Fis-tu donc tandis que le blond se retourna Et il est mort, il est mort et tu n'as rien fait... Tu n'as mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent lors de ses funĂ©railles... Comment as-tu pu lui faire ça ? » Demandas-tu, la larme roula le long de ta joue. Tu ne savais pas si c'Ă©tait une larme de colĂšre ou de tristesse, peut-ĂȘtre mĂȘme bien les deux, qui sait. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 17 Juin - 023Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸCette situation, Alexys ne l'avait jamais vĂ©cue auparavant. Il y avait toujours une premiĂšre Ă tout. C'est vrai. Mais, le jeune homme dĂ©testait se sentir impuissant. Et quelle ironie lorsqu'un vampire se sentait impuissant. Perdu entre un sentiment Ă©trange qu'il ne pouvait comparer Ă aucun autre, et un sentiment de jet-lag complet. Un peu comme si un train lui Ă©tait roulĂ© dessus. Plus rien n'avait de sens. Cette AĂ«lynn, Alexys l'avait dĂ©jĂ tellement mĂ©prisĂ© Ă©tant enfant. A juste titre. Comment aimer une gamine aussi collant qu'un chewing-gum collĂ© Ă une basket ? OĂč qu'ils allaient, la petite fille les suivait. Gentille ? Elle l'Ă©tait. Mais, la gentillesse ne faisait pas tout. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle Alexys se sentait aussi perdu Ă l'instant prĂ©cis. Comment avait-il pu penser de telle chose alors qu'aujourd'hui, la petite moche l'attirait comme jamais personne ne l'avait fait ? Pendant tout un temps, il avait pensĂ© Ă un effet secondaire au vampirisme. Cependant, aprĂšs de nombreuses recherches dans la littĂ©rature existante sur le monde surnaturel, rien n'avait Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© Ă ce sujet. Et Ă©videmment, Twilight n'Ă©tait pas une rĂ©fĂ©rence, hein !Alors qu'Alexys dĂ©vorait littĂ©ralement du regard la jeune AĂ«lynn, la rĂ©alitĂ© le rattrapa aussi vite que la vitesse de la lumiĂšre. Pouf. Hypercute. KO total. Que rĂ©pondre à ça ? La jeune femme avait totalement raison. DĂšs le moment oĂč Alexys avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, l'ambiance avait brusquement changĂ©. Le charme semblait avoir laissĂ© sa place Ă l'amertume. Le jeune homme n'avait pas l'habitude de perdre le contrĂŽle. Il ne pouvait pas se dĂ©filer alors qu'il venait de faire le plus gros du travail d'approche. Un peu comme Ă la chasse, le plus important, c'Ă©tait d'approcher de l'animal sans qu'il ne fuit. Maintenant que cette Ă©tape Ă©tait passĂ©e, il ne restait plus qu'Ă apprivoiser la tigresse qui lui lançait des regards aussi enflammĂ©s que des mitraillettes prĂȘtes Ă faire feux Ă tout moment. Je ⊠Euh. Disons simplement que l'Ăąge fait mĂ»rir notre intelligence. C'est bien connu ⊠»Alexys balbutia ces quelques mots avec beaucoup de difficultĂ©s. Comment justifier la bĂȘtise de sa jeunesse ? AprĂšs tout, il n'y avait que les idiots qui ne changeaient jamais d'avis ⊠Mais quel idiot ! Quel idiot faisait-il maintenant ! Alexys avait beau avoir eu des dizaines de filles dans ses bras, jamais aucune d'entre elles, ne l'avaient bouleversĂ© comme le faisait la jeune femme. MĂȘme un million de leurs Je t'aime », n'ont jamais rĂ©ussi Ă faire fondre son cĆur de glace. Comment expliquer qu'un simple battement de ses cils, l'enflammait instantanĂ©ment ? Chacun de ses sourires rĂ©chauffaient son Ăąme. La regarder, Ă©tait un rĂ©el plaisir. Une rĂ©elle obsession. Un rĂ©el besoin. Cette rencontre, Alexys en avait souvent rĂȘvĂ©. Et pourtant, la tournure que prenait cette conversation, frĂŽlait bientĂŽt la sensation dĂ©sagrĂ©able, Alexys l'avait ressenti en aidant AĂ«lynn. Le dĂ©testait-elle autant pour frissonner de cette façon Ă son contact ? Jetant un coup dâĆil rapide Ă sa main, le jeune homme resta bloquĂ© un instant. Ses pensĂ©es dĂ©ferlaient dans son esprit comme les rapides d'une riviĂšre tourmentĂ©e. Beaucoup de sentiments se bousculaient. Devait-il ĂȘtre exĂ©crable avec elle ? Devait-il la pousser d'oĂč il l'avait aidĂ© Ă sortir pour se venger de sa rĂ©action ? Devait-il lui avouer son obsession ? OĂč devait-il tout simplement fuir ? La fuite n'avait jamais Ă©tĂ© sa meilleure tactique. En d'autres temps, il l'aurait sĂ»rement repoussĂ© dans le meuble sur lequel, elle Ă©tait tombĂ©e. Se moquant royalement de sa douleur. Ătrangement, c'est la fuite que choisit Alexys. Un lĂąche. VoilĂ ce qu'il Ă©tait pour le que ses achats Ă©taient rĂ©glĂ©s, Alexys pouvaient prendre ses jambes Ă son cou et partir loin. TrĂšs loin de cette boutique. Cette boutique, le jeune homme n'y aurait jamais mis les pieds s'il n'avait pas eu pitiĂ© de cette petite vieille aux yeux de biche. Pourtant, en posant sa main sur la poignĂ©e, un sentiment de regret le traversa comme un coup de poignard en plein cĆur. L'espace d'un instant, la vision de cette femme marchant dans ce parc, repassa devant ses yeux. Elle, qui l'avait tant obnubilĂ© depuis ce jour. Devait-il s'avouer vaincu aussi facilement ? Lui qui avait tellement espĂ©rĂ© ce contact ⊠Aussi simple et bref avait-il Ă©tĂ© ⊠Rapidement, le jeune homme pesa le pour et le contre. Mais pourquoi rester alors que sa prĂ©sence semblait dĂ©ranger la jeune femme au plus haut point ? C'est donc avec beaucoup d'amertume qu'Alexys ouvrit la porte et sortit de la boutique, jetant un dernier regard dĂ©sespĂ©rĂ© Ă la jeune femme, avant de tourner les talents. Puisqu'il Ă©tait en possession de l'huile, autant la ramener Ă la petite vieille. Et puis, autant lui donner le livre par la mĂȘme occasion. Alexys ne voulait garder aucun souvenir de cette rencontre. Le mieux, Ă©tait de tout donner. Pourtant, alors que ses pensĂ©es s'entrechoquaient entre-elles, telles des boules de pĂ©tanque qu'on lançait lors d'un tournoi, le jeune homme entendit des pas trĂšs rapides qui se dirigeaient dans sa direction. Ne voulant pas paraĂźtre dĂ©sespĂ©rĂ©, Alexys ne se retourna pas pour assouvir sa curiositĂ© ardente. Pourtant, le prĂ©nom que prononça au loin la jeune femme, fit stopper net Alexys. La suite de son discours, finit par le scotcher littĂ©ralement. Pourquoi accordait-elle tout Ă coup, autant d'importance Ă James, son cousin ? Alexys ne comprenait pas un traitre mot de ce que dĂ©blatĂ©rait AĂ«lynn. D'ailleurs quand il se retourna pour lui faire face, la vision qui lui fit face, le choqua profondĂ©ment. Pourquoi pleurait-elle ? Pourquoi semblait-elle aussi atteinte par la mort de James ? Enfin la mort ⊠James ne valsait pas avec les vers de terre, certes. Mais ça, Alexys ne pouvait l'avouer Ă la jeune femme. La seule chose qu'il avait envie de faire ⊠C'Ă©tait de lui crier dessus. Une vague de colĂšre l'envahit. Que sais-tu vraiment de notre relation avec James ? Qui es-tu pour me juger ? Que sais-tu de moi ? De ma vie ? De mon passĂ© ? Comment peux-tu te permettre de me faire la morale de la sorte alors que je ne t'aurai mĂȘme pas donnĂ© l'heure, il y a quelques annĂ©es ? Ne fais pas comme ci tes pleures m'attendrissaient au point de me justifier, AĂ«lynn. Je n'ai de compte Ă rendre auprĂšs de personne. »Dur. Les mots que venaient d'employer Alexys, Ă©taient durs. TrĂšs durs. MĂȘme trop durs. Le jeune homme se sentait en colĂšre. La colĂšre Ă©tant amplifiĂ©e par le cĂŽtĂ© vampirique, le rendait encore plus exĂ©crable qu'avant. Il n'avait pris aucune pincette avec AĂ«lynn. Alexys avait simplement balancĂ© les premiĂšres remarques qui lui Ă©taient venues Ă l'esprit. Au risque de blesser la jeune femme. D'ailleurs, l'Ă©tat dans lequel elle se trouvait, lâĂ©nervait autant qu'il l'intriguait. Pourquoi rĂ©agissait-elle comme ça ? Quelle relation pouvait-elle bien entretenir avec James pour se mettre Ă pleurer ? Alexys avait toujours su que si la jeune femme les collait Ă©tant jeune, c'Ă©tait sĂ»rement parce qu'elle en pinçait pour l'un d'eux. Pourtant, James n'avait jamais fait d'allusion Ă son sujet. Alexys savait que son cousin entretenait une relation avec une jeune femme, au point de vouloir l'Ă©pouser mais jamais, James n'avait fait d'allusion Ă AĂ«lynn. Il disait sans cesse qu'Alexys ne le connaissait pas. Se pourrait-il qu'il lui aie menti ? Non. Cela ne pouvait ĂȘtre vrai ⊠Alexys sentait la jalousie lui monter aux joues. Ses poings se serraient au point dĂ©crasser totalement la poignĂ©e du sac contenant l'huile et le livre. Beaucoup de scĂ©narios se jouaient dans son esprit. Le pire d'entre tous, c'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel AĂ«lynn jouait la fiancĂ©e Ă©prise de son dĂ©funt qui n'Ă©tait pas si dĂ©funt que ça. Le meilleur ? C'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel la jeune femme jouait simplement l'amie d'enfance un peu rabat-joie. Finalement, c'est celui que le jeune homme dĂ©cida de choisir pour apaiser ses Ă©motions, parties un peu trop en vrille. L'instinct animal du vampire s'Ă©tait rĂ©veillĂ©. Un peu comme si ses Ă©motions Ă©taient passĂ©es en Off. MĂȘme s'il ne l'avouera jamais, entendre AĂ«lynn s'inquiĂ©tait de ce qu'avait pu vivre ou ressentir un autre homme que lui, le rendait fou. Malade. Malade de jalousie. Ou tout simplement malade d'amour pour la jeune femme ? Quoi qu'il en soit, Alexys ne comptait pas se dĂ©gonfler. Il devait savoir. Elle devait passer aux vĆux. Qu'elle le veuille ou non. D'un pas un peu trop dĂ©cidĂ©, il s'avança vers la jeune femme. Croisant ses bras sur sa poitrine, le sac pendait contre son torse, il nargua AĂ«lynn du regard, arborant cet air suffisant qui l'avait tant caractĂ©risĂ© auprĂšs de ses anciennes conquĂȘtes, signe que la tempĂȘte Ă©tait proche ⊠D'ailleurs, que nous vaut cette soudaine considĂ©ration ? Il y a quelques instants, tu m'as rappelĂ© Ă quel point je te mĂ©prisais quand nous Ă©tions enfants. Pourquoi penses-tu qu'il n'en Ă©tait pas de mĂȘme pour James ? Tu penses avoir eu la moindre importance pour lui ? Je rĂȘve. Tu te prends pour sa copine ou quoi ? Qui Ă©tais-tu pour lui ? Qui Ă©tais-tu pour te permettre de me faire un sermon sur mon devoir de cousin de la sorte ? Stuart, je ne suis plus cet enfant que tu peux sermonner comme bon te semble. Grandis un peu. Si je n'Ă©tais pas prĂ©sent, c'est sĂ»rement parce que j'avais mes raisons. Et ces raisons, elles ne concernent que moi. "Qui a dit que les retrouvailles devaient toujours ĂȘtre joyeuses ? Ce qui Ă©tait sĂ»r, c'Ă©tait que lâimpertinence et lâarrogance d'Alexys, allaient sĂ»rement lui jouer des tours ⊠CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 021 BACK TO YOU⊠Comment cela Ă©tait-il possible de changer d'une situation de tout au tout en une fraction de seconde. Tu Ă©tais grossiĂšrement en train de flirter avec lui en pleins milieu de ton magasin, rougissante comme une adolescente avec le cĆur en crise de tachycardie et l'instant d'aprĂšs, la colĂšre, la tristesse et la rancune tâenivras. C'est dingue comme l'identitĂ© d'une personne pouvait jouer sur l'aspect relationnel. Tu tombes en amour et ensuite tu haĂŻs instantanĂ©ment, le tout, en un prĂ©nom. Bien sĂ»r, dit comme cela pouvait bien ĂȘtre ridicule, mais au final, il Ă©tait devenu un homme grand beau et trĂšs sĂ©duisant... Mais cela ne changeait pas rĂ©ellement qui il Ă©tait et ce qu'il avait fait.. Enfin, ce qu'il n'avait pas fait dans ce cas contraire. Et toi, tu ne pouvais pas te sentir plus bĂȘte, tombĂ©e sous le charme pour la premiĂšre fois depuis la mort de l'homme que tu aimais de son cousin. C'Ă©tait vĂ©ritablement le comble. Tu Ă©tais pourtant la premiĂšre Ă insulter les filles de sĂ©rie tĂ©lĂ© qui passe de frĂšre en frĂšre ou bien alors de gars en gars dans la mĂȘme bande de pote, les insultĂ©s de filles faciles et d'hypocrite. Au final, tu Ă©tais exactement pareil. Et tu te mis Ă froncer les sourcils, si James Ă©tait encore vivante, aurais-tu ressentie cette attirance et cette connexion indĂ©niable avec le revenant blond ? Tu ne savais pas rĂ©pondre Ă cette question, et au final tu ne prĂ©fĂ©rais pas savoir. Bien entendu, rien ne justifiais la situation, et malgrĂ© son identitĂ© connu, la sensation de sa peau contre la tienne quand il t'aida Ă te relever te fit plus d'effet que tu ne le voulais. IndĂ©niablement, il avait ce pouvoir sur toi, du moins, sur ton corps et ton cĆur qui Ă©tait incontrĂŽlable, mais ton esprit et ton Ăąme ne pouvait l'accepter. Alors, justifier l'enfance pour excuse de ta rĂ©action Ă©tait la seule et la premiĂšre chose qui te vint Ă l'esprit Oui c'est vrai, on change tous » RĂ©pondis-tu gĂȘnĂ©e par la situation, par ce tourment entre ta tĂȘte et ton cĆur. Sans oubliĂ©e du coup, cette atmosphĂšre palpable, cette situation oppressante et le malaise qui se dĂ©gageait au final. Tu soufflais et fermais les yeux quand il partit rĂ©gler ses achats et tu essayais de reprendre tes esprits, mais c'Ă©tait impossible pour toi. Tu ne pouvais pas faire comme si de rien Ă©tait, tu Ă©tais bien trop franche et bien trop grande bouche pour laisser croire Ă un simple souvenir d'enfance alors que ta rancune Ă©tait bien plus profonde, bien plus enracinĂ©e dans tes entrailles. Et c'est alors qu'il partit de l'Ă©tablissement que tu rĂ©agissais enfin. Sans prĂ©venir ta vendeuse, tu quittas Ă ton tour le magasin pour ouvrir ton cĆur Ă cet homme si mystĂ©rieux. AprĂšs avoir sortit tout ce que tu avais sur le cĆur, il s'Ă©tait retournĂ© et tu pouvais voir la peine et la colĂšre dans son regard et aussi dans l'aura qu'il dĂ©gageait. Bien entendu, tu avais Ă©tait dure avec lui. Et sa rĂ©ponse ne se fit pas tarder. Tu baissais un instant le regard, il avait pas tort au final, qui Ă©tais-tu pour le juger, que savais-tu de lui. Tu te mordis la lĂšvre infĂ©rieure et surtout, tu ne compris pas tout de suite la suite de son dialogue et tu ne savais pas vraiment comment rĂ©agir et surtout une intense colĂšre naquit vers l'homme que tu avais tant aimĂ©. Alexys n'Ă©tait-il donc pas au courant pour elle et son cousin ? Ne lui avait-il pas dit ? Pourtant, quand il te parlait de son cousin, il disait qu'il y avait une transparence entre les deux. Qu'ils Ă©taient proches et qu'ils se disaient tout. Qui lui avait mĂȘme proposer d'ĂȘtre son tĂ©moin Ă son mariage, mais au final, peut-ĂȘtre qu'il en Ă©tait rien. James lui avait menti, avait-il honte de toi ? Du souvenir qu'Alexys avait envers ta personne ? Tu respiras fortement, levant la tĂȘte, lui faisant face avec un regard sĂ©vĂšre. Tu n'Ă©tais certainement pas le genre de femme Ă te laisser marcher dessus ou t'Ă©craser. Tu Ă©tais une Stuart aprĂšs tout C'est vrai, je n'ai pas Ă te juger et je ne te connais pas, pourquoi es-tu revenu que maintenant ? Et qui es-tu ? » RĂ©pliquas-tu en croisant les bras en le dĂ©fiant du regard. Bien entendu, il continua dans son discours et tu levas les yeux Non, ce n'Ă©tait pas le cas de James, de votre trio de copain tu Ă©tais bien le seul Ă ne pas vouloir m'accepter » Fis-tu alors Et au final Ă la seconde oĂč tu es parti, James et Angel sont restĂ©s tous les jours avec Soline et moi, et toi, tu n'existais plus... On se portait bien mieux avec aucune nĂ©gativitĂ©, nĂ©gativitĂ© que tu dĂ©gageais Ă chaque fois » Repris-tu donc. Avec sa rĂ©vĂ©lation, tu prĂ©fĂ©rais pas lui rĂ©vĂ©ler ta vraie relation avec son cousin, parce que dĂ©jĂ il ne mĂ©ritait pas de savoir, ça ne le regardais pas. Mais d'une certaine maniĂšre, tu Ă©tais blessĂ©e que James ne l'ai jamais fait et du coup, tu avais besoin de temps pour accuser le coup de cette histoire Je ne suis pas du genre Ă sermonner, je ne sais pas pour qui tu me prends, mais de toute Ă©vidence tu te trompe de personne, ta mĂ©moire est de toute Ă©vidence, dĂ©faillante » Fis-tu, une pointe blessĂ©e d'avantage. Bon d'accord, tu avais toujours eu tendance Ă donner ton avis sur tout, mais de lĂ Ă sermonner les autres, c'Ă©tait un peu fort quand mĂȘme. Et tout en cette situation Ă©tait que tu repartes dans ton magasin, qu'il parte de son cĂŽtĂ© Ă lui aussi. Mais sans que tu ne saches pourquoi, une partie de toi ne voulait pas, ne pouvait pas s'en aller loin de lui, pas sur cette tension si mauvaise. Car, de toute Ă©vidence, tu avais peur de ne plus jamais le revoir et c'Ă©tait tellement contradictoire avec toute la situation. Ce n'Ă©tait Ă ne plus rien y comprendre. En cet instant, tu avais envie qu'Angel et Soline soit prĂ©sente, qu'ils t'expliquent et qu'ils te disent quoi faire, comment agir et rĂ©agir. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 18 Juin - 2156Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸQui Ă©tait-il ? Qui Ă©tait-il ? That is the question. Cette question, Alexys se l'Ă©tait souvent posĂ© ces derniers temps. Entre sa transformation, celle de James et l'attirance inexplicable qu'il Ă©prouvait envers la belle brunette, le jeune homme ne se reconnaissait plus. TantĂŽt le loup dans la bergerie, tantĂŽt le mouton prĂȘt Ă se faire dĂ©vorer par le loup. Sa transformation n'avait pas Ă©tĂ© un moment des plus agrĂ©able. Ne se considĂ©rant plus comme un humain, le jeune homme avait repris goĂ»t aux joies et aux peines de la vie humaine qu'il avait perdu grĂące Ă son travail. Tenter de sauver des gens Ă la place d'en tuer, victime de ses pulsions meurtriĂšres de vampire, Ă©tait d'un grand bonheur dans sa vie. Puis la descente aux enfers Ă©tait repartie avec la transformation de James, son cousin. MĂȘme si Alexys s'Ă©tait souvent reprochĂ© d'avoir donnĂ© cette fiole de sang, James semblait profiter pleinement de sa nouvelle vie et c'est ce qui Ă©tait le plus important. Vivre le conflit perpĂ©tuel que vivait quotidiennement le jeune homme, n'Ă©tait Ă souhaiter Ă personne. Finalement, la donne avait rĂ©ellement changĂ© lorsqu'AĂ«lynn rentra de nouveau dans sa vie. Lorsqu'Alexys la voyait au loin, c'Ă©tait un peu comme si la gravitation ne le retenait plus, flottant sur son petit nuage. La regarder lui procurait de l'apaisement. Cet apaisement qu'il n'espĂ©rait plus depuis ces derniĂšres annĂ©es. Malheureusement, il est des choses qu'on ne peut jamais avouer. Surtout pas maintenant qu'AĂ«lynn lui aie mis les nerfs en boule. Hors de question. Il Ă©tait hors de question qu'Alexys crache le morceau. Sa fiertĂ© oblige. Je vais te le rĂ©pĂ©ter puisque tu sembles ne pas comprendre ce que je te dis ⊠» Dit-il en se penchant lĂ©gĂšrement vers elle. La raison pour laquelle je suis revenu, ne te regarde absolument pas. Et quand bien mĂȘme. Je suis nĂ© ici. Faut-il vraiment une raison pour revenir ? A t'entendre, j'ai l'impression de passer un interrogatoire devant l'immigration ! » Dire qu'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able avec la jeune femme l'amusait, Ă©tait trĂšs exagĂ©rĂ©. Alexys n'avait aucune envie de lui balancer son venin. Mais puisqu'elle l'avait cherchĂ© et puisqu'il ne pouvait pas lui avouer qu'il Ă©tait en rĂ©alitĂ©, irrĂ©mĂ©diablement fou d'elle, le jeune homme n'avait pas d'autres choix que d'ĂȘtre aussi naturel que possible. AprĂšs tout, ce caractĂšre de cochon, il l'avait toujours eu. C'est juste qu'avec elle, il devenait un petit canard. D'ailleurs, depuis que le jeune homme avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, AĂ«lynn ne se gĂȘnait pas pour lui rappeler sans cesse. Cependant, la suite de ses paroles commença rĂ©ellement Ă le consumer de l'intĂ©rieur. Ses yeux Ă©taient plus qu'en Fire, consumĂ© par la jalousie. Si tu crois vraiment ça, c'est que tu es encore plus idiote que dans mes souvenirs ! » Dit-il dans un sourire narquois. Comment peux-tu ĂȘtre aussi sĂ»re de ce que tu avances ? MĂȘme si je n'Ă©tais plus lĂ , j'Ă©changeais avec James frĂ©quemment. C'est juste qu'il n'osait pas t'avouer Ă quel point tu Ă©tais envahissante et oppressante rien de plus. »Plus AĂ«lynn tentait de dĂ©fendre James, plus Alexys devenait cinglant dans les mots qu'il employait. L'entendre dire que tout ce qu'il incarnait une fois parti, n'existait plus, le blessait sincĂšrement. Alexys avouait avec beaucoup de mal, avoir Ă©tĂ© injuste avec elle en Ă©tant enfant mais comment avait-elle pĂ» devenir aussi blessante ? Finalement, plus la conversation avançait, plus le jeune homme se rendait compte que la petite fille fragile qu'il avait connu, n'existait plus. La jeune femme semblait plus forte, plus dĂ©terminĂ©e. Et mĂȘme si cela lui plaisait beaucoup, se disant qu'il avait enfin trouvĂ© quelqu'un Ă sa hauteur, certaines de ses rĂ©pliques lui plaisaient vachement moins. Finalement, Alexys avait la simple impression que toute cette histoire allait mal se terminer. AĂ«lynn ne semblait pas vouloir se faire malmenĂ©e par le jeune homme, et ce dernier Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă avoir le dernier mot sur tout ce que dirait la jeune homme, convaincu qu'il avait toujours raison, mĂȘme contre vents et marĂ©es. Au bord de l'implosion, son sang ne faisant qu'un tour dans son corps, Alexys laissa tomber le sac qu'il tenait toujours dans ses mains et s'approcha dangereusement d'AĂ«lynn. Son sourire crispait, n'annonçant rien de bon, il posa ses mains sur les Ă©paules de la jeune femme et les serra lĂ©gĂšrement, son visage s'Ă©tant rapprochĂ© du sien afin de lui susurrer dans un semblant de calme les mots qui allaient suivre. Tu sais quoi ma belle ? Pense ce-que-tu-veux de moi, je m'en contre-fiche totalement. D'autres me supplieront Ă ta place pour leur donner le peu d'attention que je te porte depuis toute Ă l'heure. Te crois-tu aussi irrĂ©sistible pour que je tolĂšre que tu me traites de la sorte ? A moins que tu me voues un amour irrationnel, le fait que nous nous sommes connu Ă©tant enfant, ne te donne aucun droit sur moi. Mais puisque tu sembles accorder tant d'importance Ă James, je vais te dire une bonne chose ⊠»Alexys s'Ă©loigna du visage de la jeune femme et recula de deux pas, son regard noir comme le fond de l'ocĂ©an, fixant avec insistance celui de la jeune femme. Sa folie bestiale ayant repris le dessus. C'Ă©tait un peu comme si son cĆur meurtri par la haine que lui vouait la jeune femme en cet instant, s'Ă©tait mis en OFF afin de limiter la souffrance. Il ne t'a jamais vraiment apprĂ©ciĂ©. La seule chose et unique chose qui l'a fait se rapprocher de toi ... C'est le vide que j'ai laissĂ© aprĂšs mon dĂ©part. Rien de plus. Alors arrĂȘte de croire au prince charmant sur son beau cheval blanc. Car sans vouloir te dĂ©cevoir, il n'existe pas. Ou du moins ⊠Plus. »Alexys avait cruellement besoin de savoir jusqu'oĂč AĂ«lynn Ă©tait prĂȘte Ă aller pour sauver la mĂ©moire de James. Ătrangement, le jeune homme avait l'impression que l'amitiĂ© Ă©tait certainement plus que ce qui liait la jeune femme Ă son cousin. Et ça, il ne pouvait l'admettre. Mais Ă©tait-il prĂȘt Ă perdre AĂ«lynn ?CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 2348 BACK TO YOU⊠Tu avais beau avoir une attirance certaine pour cet individu, son caractĂšre te repoussait au plus haut point et au fur et Ă mesure que le ton montait entre vous, tu le revoyais enfant. Il avait toujours Ă©tĂ© si mĂ©chant et dĂ©sagrĂ©able. Pas seulement qu'avec toi, mais aussi avec les autres hormis ses deux meilleurs copains. Et le voir comme ça, tu pouvais bien te demander comment pouvait-il ĂȘtre si gentil avec des petites mamies et horribles avec les autres ? Comme s'il Ă©tait deux personnes diffĂ©rentes en mĂȘme temps. Mais cela ne changeait pas la douleur qu'il reprĂ©sentait pour toi, incontestablement, tu ne pouvais que l'identifier Ă l'amour que tu as perdu. Et tu ne comprenais pas tout, comment pouvait-il dire tout cela, comment ne pouvait-il pas savoir pour son cousin ? Il avait pourtant invitĂ© au mariage. A part si, Ă©galement de ton cĂŽtĂ©, il y avait eu que des mensonges. Mais qui croire, il Ă©tait si facile de mentir quand l'autre personne ne pouvait se dĂ©fendre. Et tu te dĂ©testais de croire ce que le magnifique et dĂ©testable blond te disait, salissant alors la mĂ©moire de celui que tu avais toujours aimĂ©e. Le tout en quelques minutes. Et vexĂ©e de cette situation, tu prĂ©fĂ©rais garder pour toi le lien qui t'unissait avec son cousin, il valait mieux car tu savais qu'il trouverait rien de mieux Ă faire que de te faire douter de l'amour que James te portait et ça, il en Ă©tait impossible. Tu avais aimĂ©e terriblement James et il Ă©tait amoureux de toi, il te le disait constamment, aprĂšs tout, c'est lui qui voulait que tu deviennes sa femme. Tu repris contenance, tu ne voulais pas montrer que toutes ses accusations t'atteignait bien plus qu'il ne le pensait. Il en serait trop content. Et tu ne comprenais pas pourquoi, James qui Ă©tait un amour et lui un horrible personnage. Etait-il rĂ©ellement cousin ? Tu te le demandais pour le coup. Tu ouvris la bouche pour rĂ©pliquer, mais aucun mot ne sortit. AprĂšs tout, la raison de son retour ne concernait que lui c'est vrai, mais pourquoi n'Ă©tait-il pas venu alors pour l'enterrement de son cousin, son cher cousin qui l'adore comme il le prouve si bien. Tu te mordis la lĂšvre pour ne pas revenir sur le sujet, tu Ă©tais tĂȘtue et tu avais bien l'intention de savoir la vĂ©ritĂ©. Tu croisais les bras en le toisant sĂ©vĂšrement Et toi, comment peux-tu ĂȘtre un connard arrogant et prĂ©tentieux Ă ce point ? Tu disais que tu avais changĂ© et au final, je constate que tu es toujours ce gosse avec un caractĂšre de merde, une vie si pourrie qu'il se venge sur les autres » RĂ©pliquas-tu, tu l'avais toujours penser, il devait avoir une vie si triste pour ĂȘtre si mauvais avec tout ceux qui l'entoure, c'Ă©tait souvent comme ça Bien sĂ»r que je sais que tu Ă©changeais avec lui, tout comme il t'avait demandĂ© d'ĂȘtre tĂ©moin Ă son mariage, crois-tu vraiment qu'il te disait tout ? Je ne pense pas, James disait bien ce qui l'arrangeait parfois » Fis-tu alors dĂ©terminĂ©e et tu tâinjurias, tu Ă©tais vraiment horrible de tout remettre la faute sur James, en cet instant, tu ne valais pas mieux que celui qui te faisait face. Cet homme qui justement, s'approchait dangereusement de toi et le fait de le sentir si proche de toi malgrĂ© la colĂšre que tu nourrissais pour lui, fis comme tout Ă l'heure. Ton cĆur battait vite et cette sensation de te sentir comme une petite chose. Tu ne comprenais pas ce pouvoir si puissant qu'il avait sur toi, son odeur, son souffle. Cela te faisait tourner la tĂȘte. Heureusement, si on peut dire cela, qu'il te fit mal cela rendait cette proximitĂ© diffĂ©rente tandis qu'il continua de dĂ©verser ses paroles haineuses. Tu rĂ©pliquas pas sur ce qu'il disait, tu te doutais bien qu'il devait ĂȘtre vexer d'avoir Ă©tĂ© remplacer aussi rapidement et que son absence n'est changĂ© strictement rien sur la petite bande, et plus encore, qu'elle se portait encore mieux sans lui. Tu reculas Ă nouveau et tu compris, du moins, tu espĂ©rais ĂȘtre dans le vrai.. Cette mĂ©chancetĂ©, Ă©tait-elle pour la mĂȘme raison que la tienne ? Ou alors Ă©tais-ce vraiment de la connerie Alexys, comment peux-tu parler de lui ainsi ? J'ai bien honte d'insulter sa mĂ©moire en agissant ainsi, James t'aimait vraiment beaucoup et lĂ c'est n'importe quoi, j'ai tellement de chose Ă te dire, si tu savais. Mais par respect pour lui et son souvenir, je prĂ©fĂšre me taire c'est mieux ainsi... » Fis-tu de maniĂšre plus posĂ©e, tu aurais pus continuer pendant des heures, mais tu n'Ă©tais pas si mĂ©chante que lui et cela ne t'amusait pas de blessĂ©e les autres. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 19 Juin - 2324Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸIl y avait un dicton cĂ©lĂšbre qui disait Qui aime bien, chĂątie bien ! ». Pour le coup, la scĂšne qui se jouait devant la petite boutique, n'Ă©tait plus de l'amour mais, de la rage. Les deux jeunes s'envoyaient sans relĂąche les pires mĂ©chancetĂ©s. C'Ă©tait un peu Ă celui qui rendrait les armes en premier. Un jeu devenu dangereux au fil des minutes qui s'Ă©coulaient. Bien trop dangereux. MĂȘme si Alexys se voulait dur dans ses paroles, pris dans le redoutable tourbillon de la jalousie, sa plus grande peur Ă©tait de perdre la jeune femme. Il l'apprĂ©ciait bien trop. Son souvenir le faisait sourire quand il pensait Ă elle lors de ses moments perdus et maintenant qu'il avait rĂ©ussi Ă l'approcher, Ă lui montrer qu'il existait, la situation virait Ă la catastrophe. Au fond, Alexys aurait aimĂ© faire table rase du passĂ©. Ils n'Ă©taient que des enfants et les enfants sont toujours mĂ©chants entre eux. A croire que la rancune que lui vouait AĂ«lynn Ă©tait bien plus profonde qu'il ne l'aurait imaginĂ©. Triste rĂ©alitĂ©. Tu as raison. Je suis un connard arrogant et prĂ©tentieux. Mais contrairement Ă toi, je sais reconnaĂźtre mes dĂ©fauts. »Oui, Alexys Ă©tait un connard arrogant et prĂ©tentieux. Ca, il le savait depuis bien longtemps. D'ailleurs, chacune de ses conquĂȘtes larguĂ©es comme de vulgaires chiffons, aimaient vanter ces traits de personnalitĂ©, aussi dĂ©testables soient-ils. Le jeune homme n'avait pas eu une vie facile. Entre le dĂ©cĂšs de ses parents alors qu'il n'Ă©tait qu'un bĂ©bĂ©, le manque d'amour paternel et maternel, la dĂ©mĂ©nagement vers un pays inconnu, la maladie et puis la transformation, le karma avait plutĂŽt Ă©tĂ© dur avec lui. Sa façon de s'exprimer, se faisait par la bagarre et l'arrogance. Tout cela ne s'apparentait qu'Ă un vulgaire mĂ©canisme de dĂ©fense. Rien de plus. Jamais, il n'avait laissĂ© approcher personne Ă pars son cousin et sa grand-mĂšre. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle, il Ă©tait si dur avec les filles qu'il cĂŽtoyait. Aussi froid et impĂ©nĂ©trable qu'un puissant glacier dâantarctique. Et pourtant, lors d'une belle journĂ©e d'Ă©tĂ©, lâapparition de la jeune femme, lui avait rĂ©chauffĂ© le cĆur. Un peu trop d'ailleurs. Lorsqu'il l'avait aperçu dans la boutique quelques minutes auparavant, Alexys espĂ©rait vraiment que la jeune femme ne tiendrait pas rigueur des Ă©vĂ©nements du passĂ©. AprĂšs tout, tout le monde pouvait changer. L'univers Ă©tait rempli de seconde chance. Et pourtant, tout avait vrillĂ©. AĂ«lynn ne lui avait laissĂ© aucune chance. Et pour cela, il lui en voulait horriblement. La suite des paroles d'AĂ«lynn nâintĂ©ressĂšrent pas du tout le jeune homme qui s'Ă©tait Ă©loignĂ©, perdu dans ses pensĂ©es. Tout ce qu'il avait retenu de tout son charabia, c'Ă©tait que la jeune femme ne lui laissait aucune chance. Cette phrase, il se la rĂ©pĂ©tait en boucle. Son expression commença Ă changer petit Ă petit, laissant feindre la tristesse. Alexys se sentait comme un enfant que sa mĂšre venait dâabandonner devant les portes d'un orphelinat en lui disant que tout Ă©tait de sa faute. Le plus horrible des sentiments refit surface. L'abandon. L'abandon des gens qu'on aime. C'Ă©tait le pire. AĂȘlynn semblait vouer un culte Ă James, lui qui avait tout abandonnĂ©, faisant croire Ă ses proches qu'il Ă©tait mort. Pensait-elle que c'Ă©tait mieux que le dĂ©part d'Alexys contre son grĂ© ? Le mensonge ? Pensait-elle que c'Ă©tait correct d'abandonner ses proches et de leur faire subir un deuil ? Bien sĂ»r que non. Pour elle, James Ă©tait sur un pieds d'estalle. Si seulement AĂ«lynn savait ⊠Continuerait-elle Ă le dĂ©fendre bec et ongle ?Finalement, devant la rĂ©solution d'AĂ«lynn, Alexys baissa les armes. La regarder, devenant trop douloureux pour lui, il dĂ©cida simplement de lui tourner le dos. Tu ne m'as laissĂ© aucune chance AĂ«lynn. Du moment oĂč tu m'as reconnu jusqu'Ă maintenant, les seules paroles qui sont sorties de ta bouche, n'ont Ă©tĂ© que reproches. », Alexys marqua une lĂ©gĂšre pause. Puisque tu sembles tout savoir sur la relation que j'entretenais avec James, mĂȘme mieux que moi, tu devrais savoir que ce dont tu m'accuses, est injustifiĂ©. Mais ça, tu t'en contre-fiches. Pour toi, je ne suis que le sale gosse qui du haut de ses 10 ans, te toisait du regard. »Alexys se retourna, les yeux un peu bouleversĂ©. Cela ne lui ressemblait pas mais les accusations de la jeune femme le touchait. Maintenant que sa colĂšre Ă©tait descendue, la dĂ©pression reprenait le dessus. Entre colĂšre et dĂ©pression, il n'y avait qu'un pas et la limite Ă©tait encore plus rapidement franchie depuis qu'Alexys Ă©tait devenu un vampire. S'approchant une nouvelle fois d'AĂ«lynn, il posa ses mais sur ses joues, l'obligeant Ă le regarder dans les yeux. Me dĂ©testes-tu autant ? Pourquoi refuses-tu de croire que les gens peuvent changer ? N'y-a-t-il donc que James qui trouve grĂące Ă tes yeux ? »Une pulsion le pris dâassaut. La proximitĂ© devenant insoutenable et tentatrice, Alexys rapprocha ses lĂšvres de celles de la jeune femme. MĂȘme sans les toucher, le jeune homme ressentait dĂ©jĂ leur douceur. Son souffle rapide sonnait comme une mĂ©lodie Ă ses oreilles de vampire totalement accro. Bien que ce geste apaisait lĂ©gĂšrement son Ăąme tourmentĂ©e, il se rendit compte rapidement qu'il ne pouvait pas la forcer. Ni Ă l'aimer, ni Ă faire quoi que ce soit d'autre. Alexys l'apprĂ©ciait peut ĂȘtre un peu trop que pour lui infliger un baiser forcĂ© qui n'aurait aucune saveur, aucune Ăąme. Souvent, il s'Ă©tait amusĂ© Ă imaginer leur tout premier baiser et ce n'Ă©tait certainement pas dans ses conditions. Totalement et dĂ©sespĂ©rĂ©ment rĂ©solu, Alexys se redressa et lĂącha le visage de la jeune femme. Peut ĂȘtre qu'un jour, tu te rendras compte de l'erreur que tu viens de commettre. »Alexys alla rechercher le sac qu'il avait balancĂ© un peu plus loin dans un soupir, et tourna les talons, s'Ă©loignant de la jeune femme. Ce qu'elle pouvait dire maintenant, ne lâintĂ©ressait plus dĂ©sormais. Puisque le jeune homme n'Ă©tait qu'un connard, AĂ«lynn ne verrait sĂ»rement pas d'inconvĂ©nient Ă ce qu'il la plante lĂ , devant son magasin. Puisqu'il fallait savoir abandonner dans la vie, autant leur faire maintenant. CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 21 Juin - 025 BACK TO YOU⊠Toujours devant ton magasin, toujours bras croiser et toujours avec cette envie de claquer ce blondinet aux yeux magnifiquement blond. Tu avais succombĂ© Ă son charme, puis tu avais dĂ©couvert qui il Ă©tait. Cela avait tout changĂ© et plus les minutes s'Ă©croulaient et plus tu dĂ©couvrais sa vĂ©ritable personnalitĂ©, personnalitĂ© aussi dĂ©testable qu'insupportable. Alors, les reproches continuaient d'avantage. On est d'accord sur le fait que tu avais commencĂ© les hostilitĂ©s, mais tu n'avais pas pus faire autrement, tu Ă©tais bien trop entiĂšre, bien trop franche pour garder ce que tu avais Ă lui dire dĂšs l'instant oĂč tu l'avais reconnu. Tu souris ironiquement Que sais-tu de moi Ă©galement, je ne sais rien sur toi je te l'accorde, mais tu ne me connais pas non plus alors garde tes rĂ©flexions pour toi mĂȘme » RĂ©pliquas-tu, tu savais que tu avais des dĂ©fauts, tu en avais conscience et tu les assumais sans pour autant le dire si ouvertement comme lui, mais lui il Ă©tait tellement arrogant Ă vouloir toujours le dernier mot qu'il ne pouvait s'en doute pas s'en empĂȘcher aprĂšs tout. C'est le principe mĂȘme de ce que tu lui reprochait Ă cĂŽtĂ© de bien d'autres faits plus aggravant. Du moins, c'est ce que tu pensais car avec ce qu'il t'avait dit, tu commençais rĂ©ellement Ă douter de l'homme que tu avais jadis aimĂ©. Et alors qu'il continua Ă ouvrir la bouche pour dĂ©blatĂ©rer des paroles tu te mis Ă Ă©clater de rire royalement, pas d'amusement on en convient, mais il venait de faire terriblement fort Te donner une chance ? Non mais tu t'es entendus, il n'y a pas une seule insulte que tu m'as Ă©pargnĂ© depuis qu'on est ici alors que je t'avais juste fait par de mon ressentie et de mon inco
Rienqu'une larme dans tes yeux. 17 119 vues. Les amis, les oignons, les emmerdes. Envoyé par Mylo le 26 décembre 2011 à 23h00 Précédent. Touche Q ou GAUCHE pour passer au fichier précédent. 21 commentaires Tri par
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal ⏠MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageAsuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Sam 23 FĂ©v 2008 - 1847 Le dortoir des garçons de Serdaigle Ă©tait dĂ©sormais vide. Les jeunes bleu et argent s'Ă©taient tous levĂ©s pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă l'appel de la biĂšre des trois balais en ce dimanche de sortie Ă PrĂ©-au-Lard. Le silence rĂ©gnait et les garçons ayant eut la flegme d'ouvrir les rideaux, la pĂ©nombre rĂ©gnait elle aussi. Aucun son, aucun mouvement, aucune forme de vie si ce n'Ă©tait le chat d'Asuka Harada qui avait prit pour habitude de venir caliner le petit ami de sa propre maitresse. Mais Lix Ă©tait lovĂ© dans la couette du jeune homme, dormant paisiblement. Tout Ă©tait donc calme quand... La porte s'ouvrit Ă la volĂ©e pour laisser entrer Ă toute vitesse la ravissante Asuka, entrĂ©e ponctuĂ©e par un grand Ă©clat de rire. La belle n'attendit pas une seconde et prit le coussin du premier lit Ă sa portĂ©e et se cacha derriĂšre la porte, reprenant son souffle et Ă©touffant ses rires. Tout cela ressemblait Ă une bataille de polochon... Mais comment en Ă©taient-il arrivĂ©s lĂ , alors qu'aujourd'hui Ă©tait un jour de sortie Ă PrĂ©-au-Lard ?** FLASHBACK **Asuka cherchait quoi enfiler, analysant le contenu de son armoire. Oh des habits, elle en avait bien plus qu'il ne le fallait... Maintenant qu'elle faisait des photos pour des magazines et donc pour quelques marques, elle avait le droit Ă quelques habits coĂ»teux en plus... qui ne lui coĂ»taient qu'un sourire le temps de quelques photos. Asuka adorait les habits. Se maquiller, se faire belle pour voir son ange, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Asuka faisait donc le tri selon ses envies, sous l'oeil amusĂ© d'une amie de Serdaigle qui enviait ce grand choix d'habits, mais qui se riait de l'attention que portait Asuka Ă sa tenue, alors que de toute Ă©vidence, quoi qu'elle porte, elle Ă©tait magnifique. Elle lui fit d'ailleurs remarquer, ce Ă quoi Asuka sourit en silence. Elle se rappelait que lorsqu'elle demandait Ă Atreus si il aimait telle ou telle chose sur elle, il rĂ©pondait quasiment Ă tout les cas quelque chose du genre "J'men fou, je t'aime comme t'est." Elle raffolait de ces moments. Comme de tous les moments passĂ©s avec lui d'ailleurs. Bref. La jeune femme opta pour une tenue dĂ©contractĂ©e Ă©tant donnĂ© la journĂ©e qui les attendaient... La semaine d'avant, ils avaient marchĂ© jusqu'aux Trois balais, et l'un des potes d'Atreus avait tellement bu qu'ils avaient dĂ» le ramener au chateau en le portant Ă moitiĂ© tandis qu'il levait son verre en l'honneur du mariage d'Atreus et d'Asuka. Souriant en repensant Ă cela, Asuka prit un jean et un pull noir avec un dĂ©colletĂ© en forme de V avant de filer direction la dĂ» attendre quelques minutes le temps qu'une fille de seconde annĂ©e sorte, les lĂšvres badigeonnĂ©es d'un rouge Ă lĂšvres rose affreux. Asuka la regarda passer et ne pu s'empĂȘcher de lui conseiller un rouge Ă lĂšvres rouge, Ă©tant donnĂ© qu'elle avait une peau mĂąte. La petite ne pu qu'admirer ce conseil venant d'une si jolie jeune femme. Asuka avait beau aimer le maquillage, elle avait beau passer des heures Ă essayer diverses tenues, connaĂźtre des sorts pour se lisser ou, se boucler les cheveux, rĂȘver de dĂ©filer sur une piste en temps que mannequin des plus grands couturiers... Cela ne faisait pas d'elle une fille superficielle, malgrĂ© ce qu'on pouvait en croire. Au contraire, Asuka Ă©tait bien tout sauf superficielle. Et comme elle l'avait confiĂ© Ă Atreus, le fait que l'on fasse peser sur elle cette rĂ©putation la blessait beaucoup. Mais maintenant qu'elle sortait officiellement avec l'Irlandais, et non pas cachĂ©e au fin fond d'une rĂ©serve miteuse, on la respectait plus. Enfin, les avis Ă©taient partagĂ©s. Certains se disaient que ce n'Ă©tait toujours qu'une "trainĂ©e" et que leur relation n'avait rien de sĂ©rieux. D'autres avaient plus de respect pour elle, du fait qu'Atreus l'ai choisie. car Atreus avait beau ĂȘtre dĂ©tĂ©stĂ© par beaucoup, il y avait Ă©galement beaucoup de gens qui l'admiraient et le respectaient. Mais quoi que pensent les gens de toute façon, Asuka se fichait de leur jugement. Elle aimait Atreus, elle l'aimait plus que tout autre copain qu'elle ait pu avoir. Et elle savait que cet amour Ă©tait rĂ©ciproque. Qu'ils disent ce qu'ils veulent... Atreus et Asuka Ă©taient liĂ©s par le coeur, la tĂȘte... par leur Ăąme. Ils se complĂ©taient, ils pensait sans arrĂȘt la mĂȘme chose... c'Ă©tait comme si ils ne faisaient qu'un. Pensive, Asuka s'enferma dans la salle de bain, enleva sa nuisette et entra dans la douche. Elle resta une bonne vingtaine de minutes sous l'eau, faisant des coeurs sur le rideau de douche avec quelques un de ses cheveux Ă©garĂ©s. Comme dans un Ă©tat seconde, la belle n'avait pas conscience du temps qui passait. La tĂȘte complĂštement ailleurs, ce n'est que quand son amie vint frapper Ă la porte qu'Asuka conssentit Ă sortir de la douche. S'habillant, elle ouvrit la porte et son amie vint lui tapper la discut' tandis que toutes deux se maquillaient devant la Alors ? Ca fait combien de temps avec RomĂ©o ?- Depuis cet Ă©tĂ©... neuf mois. Si on compte depuis la bibliothĂšque, ca doit faire pas loin d'un an... C'est dingue comme ca passe Veinarde... T'a trouvĂ© un mec en N'est-ce pas ?Asuka lui sourit, refermant le mascara et le lui donnant. Oui, elle avait un petit ami en or. Elle en Ă©tait bien consciente. Et pour rien au monde elle ne le lĂącherait... Les deux filles enfin prĂȘtes, elles descendirent dans la salle commune oĂč les attendaient quelques autres filles, Atreus, et ses potes. Au moment oĂč elle le vit, un sourire plus large apparut sur ses lĂšvres tandis que son regard se faisait plus tendre encore. S'approchant, elle passa ses mains autour de son cou et lui donna un baiser, avant de murmurer entre deux baisers- Jolie chemise...Il savait qu'elle l'adorait cette chemise. Ainsi que la cravate qu'il portait avec... Chaque fois qu'il la mettait, elle Ă©tait touchĂ©e par cette petite attention qu'il lui portait tout particuliĂšrement. Le groupe des Serdaigles descendit jusque dans la cour, pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă l'appel des profs avant le dĂ©part. Mais une fois chose faite, alors que tout le monde commençait Ă avancer le long de l'allĂ©e, Asuka rĂ©alisa qu'elle n'avait pas envie de ca. Elle aimait ces journĂ©es Ă PrĂ©-au-Lard, la plupart du temps Ă boire un coup en discutant aux Trois Balais... Mais la, elle avait envie de rester avec Atreus. Juste lui. Car les moments oĂč ils pouvaient ĂȘtre en tĂȘte Ă tĂȘte Ă©taient rares... ClouĂ©e sur place, regardant les autres avancer, elle serra la main d'Atreus tandis que lui entamait la marche. Lorsqu'il se retourna avec un regard interrogatif pour savoir pourquoi elle n'avançait pas, elle leva les yeux vers lui avec un petit sourire malĂźn. Caressant sa cravate, elle l'empoigna doucement et l'attira vers elle, faisant se pencher Atreus prĂšs d' Ai pas envie... Elle lui fit sa plus belle mine de boudeuse, et vit le regard de son petit ami s'attendrir. HĂ©hĂ©... Elle savait ĂȘtre persuasive. Mais Jim, un ami de Serpentard, le savait aussi...- Eh m'sieur dame, vous allez venir prendre un verre quand mĂȘme ?Asuka soupira. Celui-la allait tout faire planter ? Tss... Tout le monde savait bien qu'Atreus Ă©tait un bon vivant, qui ne rĂ©sistait pas Ă un petit verre... Mais avant que l'Irlandais ne dise quoi que ce soit, Asuka lanca un regard mauvais Ă Jim et tira de nouveau sur la cravate d'Atreus, se penchant sur la pointe des pieds pour atteindre le creux de son oreille oĂč elle sussura quelque chose... d'apparement plus convaincant que l'argument de Jim. GagnĂ©. Non pas qu'il restait juste pour ce qu'elle venait de dire... elle esperait qu'il n'y ait pas que ca qui l'interesse... Mais bon, aprĂšs tout, elle aussi Ă©tĂ© franchement bien interessĂ©e par cette idĂ©e des plus plaisantes. Alors qu'ils retournaient vers le chateau, on entendit Jim ouvrir de nouveau sa bouche, ce Ă quoi Asuka s'arrĂȘta al bouche entrouverte, Ă moitiĂ© choquĂ©e et vexĂ©e de ses L'amour tuera tout tout les plaisirs...Asuka se retourna, lĂąchant la main d'Atreus, et s'approcha de Jim avant de pointer un index accusateur sur le torse du Tu sais quoi ? Si Eliane t'a larguĂ©, c'est parce-que, justement, tu prĂ©fĂ©rais boire et faire la fĂȘte que passer un moment avec elle. Jim, une fille ne restera jamais avec toi si tu ne la fais pas passer avant tout le reste. Alors vas-y, vas te mettre un peu plus minable que tu ne l'est dĂ©ja. En attendant, Atreus n'aura pas de biĂšre mais je suis sĂ»re qu'il prendra bien plus de plaisir que toi aujourd' ce, elle fit demi tour et revint vers Atreus sous les rires des Serdaigles qui se moquaient de la façon dont il venait de se faire casser en public. Asuka n'Ă©tait pas mĂ©chante... Mais il Ă©tait bien connue qu'elle avait un temperament de Serpentard et que, lorsqu'on la cherchait, elle Ă©tait redoutable... une vraie sauvage. Elle bondissait comme une tigresse et faisait des ravages sur son passage. Mais il n'y avait pas de quoi s'inquieter... Jim et Asuka s'appréçiaient. Mais il avait tendance parfois Ă ĂȘtre un peu trop macho et si il y avait bien quelque chose qui Ă©nervait la miss Harada, c'Ă©tait ca. Alors elle se chargeait de le remettre en place, et le landemain, c'Ă©tait oubliĂ©. De toute façon si il disait quoi que ce soit sur elle, Asuka comptait sur Atreus pour prendre sa dĂ©fense... Histoire tout de mĂȘme de ne pas passer pour la rabas-joise de service, Asuka reprit la main d'Atreus et lança un regard Ă Jim Ă qui elle tira la langue d'une maniĂšre ironique pour dire que c'Ă©tait dĂ©ja oubliĂ©, qu'il n'y avait pas de problĂšme.... Ce qui ne l'empecha pas de partir dans monologue feministe anti macho durant tout le long du chemin les menant jusqu'Ă la salle commune de Serdaigle. Parlant Ă toute vitesse, elle n'Ă©tait pas convaincue qu'Atreus Ă©tait bien attentif Ă ce qu'elle disait... et si il ne l'Ă©tait pas, elle ne lui en voudrait pas... car elle mĂȘme se fatiguait Ă parler, parfois. Mais lorsqu'elle dĂ©blaterait tout un tas de paroles ainsi, s'enervant toute seule, cela faisait sourire Atreus. Et ca, ca valait bien tout l'Ă©puisement du Ă la salle commune, Asuka se dĂ©barrassa de son sac en bandouliĂšre et passa ses bras autour de la taille d'Atreus, l'embrassant. Parce-que cela faisait un moment qu'elle en avait envie. Parce-que rien que ca, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Mais comme Ă chaque fois, un baiser suffisait Ă faire monter un dĂ©sir enfouit en eux et dĂ©ja elle ne pu se retenir de le pousser jusqu'au canapĂ© oĂč, une fois allongĂ©, elle s'assit Ă cheval sur lui, l'embrassant encore, ses cheveux lissĂ©s tombant de part et d'autre du visage du prĂ©fĂšt. Elle avait envie de lui. Elle en mourrait d'envie. Mais la jeune fille Ă©tait joueuse... et lĂ , c'Ă©tait trop facile. Le distrayant en descendant poser des baisers au bas de son ventre, elle attrapa le coussin au bout du canapĂ©. Une fois celui-ci en main, elle se repositionna Ă cheval sur lui, les mains dans le dos, avant de maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre...En voyant la tĂȘte mi amusĂ©e mi offusquĂ©e d'Atreus, elle ne pu s'empĂȘcher de rire et abattit le coussin sur sa tĂȘte avant qu'il ne puisse Ă©changer les positions. Car il Ă©tait Ă©vident que, au niveau physique, il avait toute maitrise sur elle... Il Ă©tait grand et costaud tandis qu'elle ressemblait Ă une brindille Ă cĂŽtĂ© de lui. Mais elle adorait le provoquer. Oui, tout deux passaient leur temps Ă se taquiner. Qui aime bien chĂątie bien. Pour Ă©viter toute contre attque, la jeune femme se leva en vitesse et partit se rĂ©fugier dans le dortoir des garçons, riant aux Ă©clats.**C'est donc cachĂ©e derriĂšre la porte, avec un nouveau coussin en main, qu'Asuka attendait l'arrivĂ©e d'Atreus. Son coeur battait Ă toute vitesse Ă cause du stress et du sprint qu'elle venait de faire. Essayant de respirer le plus doucement possible, elle attendait, presque silencieuse, l'arrivĂ©e du bel Atreus. MĂȘme si c'Ă©tait, pour l'instant, pour l'attaquer avec un coussin, elle avait hĂąte. Il lui manquait dĂ©ja...DerniĂšre Ă©dition par Asuka Harada le Dim 23 Mar 2008 - 1716, Ă©ditĂ© 1 fois Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 24 FĂ©v 2008 - 623 Dimanche 14 Avril 1984 - 907 - Salle Commune de SerdaigleUn ciel d'un bleu azur. Quelques nuages fins d'un blanc nacrĂ©. Une lĂ©gĂšre brise. Une belle journĂ©e en perspective. Ah... Avril. Beau mois putain... C'est ce que se disait Atreus en contemplant rĂȘveusement le ciel et le paysage qui s'Ă©tendait devant lui, Ă travers une des fenĂȘtres de la Salle Commune. Un lĂ©ger roucoulement le fit tourner la tĂȘte. Oh... PerchĂ©s sur une gouttiĂšres en pierre du toit de la tour, un couple de pigeons roucoulaient paisiblement en se donnant de petits coups d'becs affectueux. Des baisers pour eux quoi. Des baisers... AussitĂŽt, l'image d'Asuka apparut au jeune homme. Son visage d'ange et son sourire qui le faisait fondre Ă chaque fois se dessina devant ses yeux. Ah... Asuka. "Elle" comme il l'appelait... Sa petit amie. Putain... C'kil l'aimait sa Asuka le 'Treus. Comme... Comme un alcoolique chĂ©rie sa bouteille de Whisky par exemple. Euh. Nan c'pas romantique ça. Et puis... Nan ça convient pas. C'est PLUS que ça ! C'est comme... Comme ce couple de pigeon. Il s'aiment Ă la folie ! C'est exactement doux sourire se dessina sur le visage de l'Irlandais. Le sourire d'un homme qui aime. Un Ă©clat de rire le fit redescendre sur terre. Un d'ses potes Ă premiĂšre vue. Aaah... Gros soupir. Asuka lui manquait. Il savait qu'elle n'allait pas tarder Ă descendre, toute fraĂźche et maquillĂ©e, mais, c'Ă©tait trop long dĂ©jĂ . Combien d'fois il lui en coutait de la laisser au pas des escaliers des deux dortoirs ? Je ne les compte plus. Bref. C'est ainsi qu'il prit son mal en patience, ravalant son impatience. Bon. Aujourd'hui, une putain d'journĂ©e s'annonçait. HabillĂ© de sa chemise blanche et de sa cravate rouge, que sa tigresse de petite amie kiffait au plus haut point, et d'un jean, le Serdaigle, et sa bande de potes et amies, attendait Asuka et une autre amie de Serdaigle pour se rendre pour une journĂ©e tranquille et cool Ă PrĂ©-au-Lard. Atreus prĂ©voyait un 'tit dĂ©tour par le parc avec Asuka pour... Batifoler un peu n'est-ce pas ? Les deux jeunes gens prenaient beaucoup de plaisir Ă s'faire toutes sortes de cĂąlins doux ou coquins. Ouf comme c'Ă©tait bien. Clac. Puis un "Tap ! Tap !" rĂ©gulier et des paroles. Et Sa voix. Pas d'doutes. Asuka arrivait. Putain enfin la belle de son cĆur arrivait. Quand elle paru, Atreus ne put s'empĂȘcher de sourire devant sa grĂące et sa beautĂ© gracile. C'te fille, c'est une merveille j'vous dit ! Arrivait Ă sa hauteur, la jeune femme, trĂšs joliment habillĂ©e comme d'habitude, passa ses bras autour du cou du jeune homme et l'embrassa amoureusement. L'Irlandais lui rendit ce baiser pleins d'amour en resserrant la pression et en touchant dĂ©licatement la belle criniĂšre de la jeune femme. Quand ils Ă©cartĂšrent leurs lĂšvres, le murmure d'Asuka parvint Ă ses oreilles. Jolie chemise... » Jolie pull... » riposta gentiment le jeune homme avec un clin d'Ćil amusĂ©. AprĂšs un autre baiser plus rapide cette fois, le groupe des Serdaigles se mit en marche, bavardant et riant forts. Atreus passa sa main dans le bas du dos d'Asuka, entourant ainsi sa taille, et ils partirent Ă la suite du groupe. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Arrivaient en bas du chateau, devant la porte d'entrĂ©e, Atreus sentit une pression sur sa main. Il se retourna. Asuka ne suivait pas. Il lui lança un regard interrogatif. Asu tu n'vient p... »Il n'eut pas le temps de finir sa phrase car la ravissante jeune femme venait de l'attirer en tirant doucement sur sa cravate. Chose qu'elle adorait faire et... Je dois avouer que le 'Treus kiffait beaucoup ce geste si sensuel. La jeune femme approcha et lui murmura doucement Ai pas envie... »L'Irlandais eut un sourire amusĂ© et pleins d'amour devant la mine boudeuse et maligne de la jeune Asuka. P'tiiin. C'te tĂȘte... Il le rendait fou de dĂ©sir ! C'est pourquoi il n'allait opposer aucune rĂ©sistance Ă ce petit caprice de sa belle petite amie. Quand un pote de Serpy les hĂ©la, Asuka eut une moue encore plus boudeuse et se pencha Ă cĂŽtĂ© de l'oreille d'Atreus. Ce qu'elle lui dit vous l'avez sĂ»rement devinĂ© non ? Bande de pervers va ! Vous avez pas tout Ă fait tord... Le visage d'Atreus ne changea pas, si ce n'est pour afficher un sourire chargĂ© d'amour, de tendresse et de dĂ©sir encore plus jeune homme laissa la belle jeune femme mouchait le Serpy. Atreus s'en foutait car en c'moment il se sentait bien dans la tĂȘte, dans le corps et... Dans le coeur. Hop. Direction... La Salle Commune ! HĂ©hĂ©..._ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Le retour Ă la Salle Commune fut trĂšs rapide. A peine arrivĂ© que les deux jeunes gens s'enlaçaient passionnĂ©ment en s'embrassant fougueusement. Que c'Ă©tait bon. Asuka le poussa avec un amour sauvage dans le canapĂ© le plus proche. Et elle vint de mettre Ă cheval sur lui tout en l'embrassant avec ardeur. Atreus caressait les courbes de la jeune femme d'un bras alors que l'autre bras Ă©tait logĂ© derriĂšre la nuque de Tigresse tout en l'embrassant avec passion et dĂ©sir. P'tiiin. Des moments comme ça reste gravĂ© dans la mĂ©moire. On souhaite que cela ne s'arrĂȘte jamais. Ou alors seulement pour aller plus loin encore. En c'moment-lĂ , le Serdy Ă©tait vraiment fou de dĂ©sir. Cette fille Ă©tait un rĂȘve. Un rĂȘve qui Ă©tait Ă lui. Rien qu'Ă lui. Alors qu'il l'embrassait dans le cou, la jeune femme dĂ©posa des baises sur son torse pour descendre peu Ă peu. Elle se redressa brusquement pour reprendre sa position initial sur lui, Ă cheval sur son torse. Quelle maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre... »Oho. La 'tite coquine... On aime la provoc' hein ? Genre Atreus le savait pas. Depuis l'temps qui se taquinaient avec amour et se provoquer mutuellement, c'en Ă©tait devenu un jeu. Un Jeu de l'Amour. L'Amour façon Atreus et Asuka. C'est un peu plus... SpĂ©cial. HĂ©hĂ©. Elle veut donc jouer à ça ? Elle va avoir l'droit Ă ... BROUF ! Putain ! Le jeune homme venait d'se prendre un gros coussin dans la gueule avant d'entendre le rire amusĂ© d'Asuka s'Ă©loignait. Tout en enlevant le coussin, le Serdy Ă©clata de rire. Putain. Vous l'ai-je dit que j'adore cette fille ? Aussi belle qu'imprĂ©visible. J'ADORE !Et c'est donc un coussin Ă la main et le sourire tendre et amusĂ© aux lĂšvres que l'Irlandais se lança Ă la recherche de sa joueuse de petite amie. Il jeta un Ćil du cĂŽtĂ© de l'escalier des dortoirs des filles mais le rire Ă©touffĂ© de la jeune femme lui parvint du cĂŽtĂ© des dortoirs des mecs. Oho. En territoire connu. Ăa va ĂȘtre marrant. Le jeune homme s'Ă©lança sans faire de bruit dans l'escalier, s'arrĂȘtant de temps en temps devant les porte des dortoirs. Mais il savait oĂč elle s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©. Dans SON dortoir Ă lui. Il le sentait. Il le savait. Il la connaissait bien sa Asuka hein ? A pas de loups, il s'approcha donc de la derniĂšre porte, celle de son dortoir. Il resserra sa prise sur le coussin, et aprĂšs un sourire et un frisson d'excitation et d'euphorie, ouvrit rapidement la porte. Un gros coussin s'abattit une fois de plus sur lui mais il se roula Ă terre et, se relevant d'un bond, balança doucement mais rapidement son coussin sur la tĂȘte de la jeune femme. Elle le reçu en plein visage alors qu'elle riait aux Ă©clats. Le PrĂ©fet en profita pour se rapprocher d'elle et se collait Ă son corps. Tout deux riant, ils s'embrassĂšrent un peu partout... Dans le cou, sur le visage, les lĂšvres... C'beau l'amour hein ?Avec un regard amusĂ©, ils se sĂ©parĂšrent et reprirent leurs armes. Le Coussin Blanc - ModĂšle Hot Dreams » d'Asuka VS le Coussin Bleu Ă Franges - dit Tueur de Mouches » d'Atreus. Tantan ! ZE duel ! LEs deux adversaires se font face. Ils s'observent et... C'EST REPARTIT ! Le Coussin Blanc de la jeune femme vole Ă travers la piĂšce et manque de peu l'Irlandais. Ce dernier riposte en envoyant valser son coussin vers Asuka. Cette derniĂšre l'Ă©vite en plongeant sur un lit. Elle se relĂšve, un autre coussin Ă la main et l'envoie de toutes ses forces sur Atreus. Le prĂ©fet, occupait Ă rĂ©cupĂ©rer le premier coussin d'Asuka se prit le coussin ennemi dans la tronche. Dans un grand Ă©clat de rire, il contre-attaqua. Cible touchĂ©e. Asuka resta allongeait sur le lit, riant Ă perdre haleine. Alalaaa... C'trop bon tout ça ! Le jeune homme sauta sur le lit, aux cĂŽtĂ© de sa petite amie. Tout en la serrant dans ses bras, il l'embrassa sur les lĂšvres. La jeune femme tressautait encore d'euphorie mais elle lui rendit son baiser avec autant de fougue que d' releva la tĂȘte. Un sourire amusĂ© et tendre sur les lĂšvres, il balaya une mĂšche rebelle sur le front de la Serdaigle avant de lui caresser la joue. D'une voix douce, lĂącha Je t'aime Asuka. De tout mon cĆur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. »Magnifique. Un moment... Magique. Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Jeu 28 FĂ©v 2008 - 2313 Silence. On entendait qu'un lĂ©ger souffle derriĂšre la porte, tandis qu'Asuka tendait l'oreille. Elle n'entendait pas grand chose, mise Ă part lorsque Atreus arriva devant la porte. Pour ĂȘtre venue souvent en pleine nuit voir son homme, Asuka connaissait la faille dans le plancher juste devant cette porte. On entendit un petit grinçement lorsque le bel Irlandais arriva devant la porte. A ce moment, il ouvrit celle-ci Ă la volĂ©e et sans attendre, Asuka lui sauta dessus, le frappant avec le coussin. Le chat, dĂ©ja rĂ©veillĂ© par l'entrĂ©e fracassante d'Asuka, sauta du lit en un miaulement pour se cacher dessous, ses yeux verts grands ouvert dans l'obscuritĂ©. Atreus, pour Ă©viter plusieurs coups, se roula Ă terre dans une cascade digne de James Bond avant de se relever et jeter un coussin sur Asuka qu'elle n'eut pas le temps d'Ă©viter. Le prenant dans la tĂȘte, elle ouvrit la bouche comme si elle Ă©tait choquĂ©e, bien que ce soit elle qui ait dĂ©clarĂ© la guerre. L'oeil malicieux, cela ne l'empĂȘcha pas de s'approcher d'Atreus lorsqu'il se releva. Passant ses mains derriĂšre sa nuque tandis qu'il la prenait derriĂšre la taille, tout deux se collĂšrent l'un Ă l'autre avec envie. Asuka dĂ©posa ses lĂšvres sur les siennes, leurs langues se touchant, se quittant, et revenant encore l'une Ă l'autre. Puis Atreus quitta ses lĂšvres pour lui baiser le cou tandis qu'elle fermait les yeux, se mordant les lĂšvres sous un frisson de dĂ©sir qui lui parcouru tout le corps. Lorsqu'il revint pour l'embrasser, elle laissa ses lĂšvres Ă quelques milimĂštres des siennes, Ă©vitant tout contact, simplement pour provoquer un peu plus le jeune homme et faire monter l'exitation. Puis elle posa ses mains sur son torse et tout deux se lançÚrent un regard malin. A ce moment, ils comprirent. Se sĂ©parant Ă toute vitesse au mĂȘme moment, comme si ils Ă©taient capables de lire l'esprit de l'autre, ils reprirent tout les deux un coussin et la bataille reprit de plus belle. Tandis que tout deux enjambaient ou s'affalaient sur les lit, le chat quitta le champ de bataille en courant et en poussant un miaulement n'en pouvait plus de rire. DĂ©ja, rien qu'en voyant Atreus, elle Ă©tait obligĂ©e de sourire. Alors lĂ , tandis qu'ils s'amusaient ensemble, elle Ă©tait euphorique. En ayant mal aux joues, elle plongea sur le lit d'Atreus pour essquiver son coussin, et le silence revint doucement, ponctuĂ© par le rire essoufflĂ© d'Asuka qui n'en pouvait plus. Essayant de reprendre sa respiration et d'Ă©touffer ses rires, elle resta ainsi allongĂ©e sur le dos, regardant le plafond avec des yeux pĂ©tillants, la main posĂ©e sur sa poitrine. Et tandis qu'Atreus avançait vers elle, elle enleva ses chaussures Ă talons, qui lui avaient dĂ©ja broyĂ© les pieds suite Ă ces folles aventures... Bien qu'elle en ai l'habitude. Jetant donc les chaussures et un peu plus loin, elle resta allongĂ©e, regardant le plafond avec un sourire amusĂ© et jeune homme vint enfin prĂšs d'elle en sautant sur le lit, faisant grincer les lates tandis qu'Asu se voyait plongĂ©e vers le sol avant de rebondir lĂ©gĂšrement. AussitĂŽt, elle posa un doux regard sur lui tandis qu'il faisait de mĂȘme, et lorsqu'il approcha son visage, elle l'accompagna, posant doucement sa main sur sa joue, la caressant du pouce. Leurs lĂšvres se joignĂšrent, puis se sĂ©parĂšrent, pour se retrouver encore dans des baisers langoureux. Comme toujours, un vrai dĂ©lice. En un regard elle frissonna, tandis que toute sa tĂȘte, ses sens et son coeur lui criaient Ă quel point elle l'aimait. Oh oui elle l'aimait. Jamais quelqu'un ne lui avait autant manquĂ©, jamais elle n'avait dĂ©sirĂ© quelqu'un comme elle le dĂ©sirait, jamais quelqu'un ne lui avait fait autant de bien... jamais personne ne l'avait rendue si heureuse. Et cela, elle voulait lui dire. Il le savait, c'etait Ă©vident... Mais elle avait l'impression qu'elle l'aimait bien plus qu'elle ne le lui disait, et que ce n'Ă©tait jamais assez. Jamais Atreus...- Je t'aime Asuka. De tout mon cĆur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. BAM. Asuka resta immobile une seconde, le regard allant d'un oeil d'Atreus Ă l'autre. Puis, sentant une vague de chaleur monter en elle en mĂȘme temps que les larmes lui venaient aux yeux, elle ferma ces derniers et, posant sa main derriĂšre la tĂȘte d'Atreus, elle le rapprocha d'elle en le prenant dans ses bras et en le serrant de toutes ses forces contre lui dire quelque chose de mieux que cela ? Non. Il l'aimait de tout son coeur, de tout son ĂȘtre. Et le fait qu'il le lui dise... Asuka Ă©tait vraiment Ă©motive, et les larmes lui Ă©taient montĂ©es plus vite qu'elle ne l'aurait souhaitĂ©. Mais c'Ă©tait naturel. Des larmes de joie. Parce-que rien ne pouvait lui faire plus plaisir que ces paroles... sincĂšres. Se sentir aimĂ©e, n'est-ce pas ce que tout le monde recherche au plus profond de soi ? Un besoin d'ĂȘtre aimĂ©e, comme on a besoin d'aimer. A vrai dire, son coeur se serra tellement fort Ă ce moment, elle se retrouva tellement Ă©mue, qu'elle fut incapable de lui rĂ©pondre. Et pourtant, ce n'etait pas l'envie qui lui manquait... L'envie. L'envie de lui crier qu'elle Ă©tait dingue de lui. L'envie de vivre avec lui, de l'aimer pour le meilleur comme pour le pire. Certes, elle Ă©tait jeune. Mais elle croyait au coup de foudre, et en l'amour d'une vie. Du moins, elle voulait y croire maintenant, maintenant qu'elle l'avait trouvĂ©. Certes, depuis la mort de sa mĂšre, elle s'etait jurĂ© de ne jamais s'attacher... elle avait cru qu'elle ne serait jamais capable d'aimer, d'ĂȘtre aimĂ©. Elle s'Ă©tait forgĂ© un caractĂšre, il fallait le dire, elle aimait sĂ©duire. C'est cela qui lui avait valu cette rĂ©putation, Ă la base, fondĂ©e... Il faut dire qu'elle avait enchainĂ© les petits amis... Mais aucun ne l'avait aimĂ© sincĂšrement, avant Atreus. Atreus... Il Ă©tait la raison de son bonheur, elle voulait y serrant contre son coeur, elle sentait le sien battre contre sa poitrine. Et se dire qu'il battait pour elle... C'Ă©tait merveilleux. C'Ă©tait parfait. Oui, elle Ă©tait tellement heureuse dĂ©sormais qu'elle soupçonnait parfois le destin de lui prĂ©parer un mauvais coup. Mais cela, elle le refoulait loin dans un petit recoin de sa tĂȘte. Le sourire aux lĂšvres, des frissons plein le corps, elle releva le visage d'Atreus au dessus d'elle et, le regard embuĂ©, l'admira, lui caressant les cheveux. Son regard pĂ©tillait de larmes refoulĂ©es, son sourire Ă©tait tendre. Elle faisait penser Ă un petit animal qui ne demandait qu'un peu d'amour. Et c'est ce qu'elle Ă©tait... Elle le lui avait dit Ă la rĂ©serve de la bibliothĂšque... elle Ă©tait fragile derriĂšre sa carapace. Elle avait besoin d'amour, c'est ce qui faisait sa force. Elle en avait besoin, mais elle avait Ă©galement un coeur Ă©norme, un coeur capable de donner absolument tout son amour Ă quelqu'un. Son amour, et plus Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. - Finit-elle avec un sourire plus large, une larme s'Ă©chappant de son oeil -Tandis qu'il lui caressait la joue pour effacer cette unique larme, elle l'attira vers elle pour l'embrasser profondement, passionement. C'Ă©tait lui sa force. Lui qui lui donnait envie d'avancer, de se battre. Il Ă©tait... tout. Tout pour elle. Et mĂȘme si elle ne lui rĂ©pondait qu'un simple "je t'aime"... cela voulait dire bien plus. Cela voulait dire qu'elle Ă©tait dingue de lui, qu'elle donnerait tout pour l'aimer jusqu'au bout. Mais cela, il le savait. Il n'Ă©tait pas lĂ©gilimens, mais le lien entre eux Ă©tait si fort qu'ils se comprenaient en toute circonstance. Cessant le baiser, Asuka leva les yeux vers lui et sourit plus largement, puis baissant les yeux sur sa cravate qu'elle caressa du bout des doigts, elle dit- Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă me rendre si heureuse...Pourquoi ? Parce-qu'il n'y avait qu'a lui qu'Asuka s'Ă©tait mise "Ă nu". En dehors de sa mĂšre, il avait Ă©tĂ© le seul a entendre ses craintes, ses doutes, ses peurs. Il Ă©tait le seul dĂ©sormais Ă connaĂźtre la vĂ©ritable Asuka Harada. Et Ă l'aimer pour cela. Pensive, continuant de toucher du bout des doigts la cravate de son bel irlandais, elle lĂącha le regard dans le vide- J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. -Elle leva son regard doux dans le sien- Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands en demandait beaucoup. Elle savait que ce voeux n'Ă©tait pas rĂ©alisable... du moins pas pour le moment. Mais ils l'auraient leur palace. Actuellement, elle passait des heures dans ses bras dans la beignoire de la salle de bain des prĂ©fets, entourĂ©s de pĂ©tales de roses. Ca, c'Ă©tait leur petit plaisir en plus, les pĂ©tales... leur petit truc Ă eux. Les calĂźns, elle les avait dans le parc, dans la salle commune... un peu partout. Quand aux nuits... Il y en avait eu Ă divers endroits, et pas forcement pendant la nuit... Bref, c'Ă©tait dĂ©ja parfait. Mais Asuka rĂȘvait de ces moments dans son palace imaginaire... Avec lui. Lui et elle, elle et lui... rien qu'eux et leur amour sans limites. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Ven 21 Mar 2008 - 2220 Silence. Les deux amants se regardaient. A la suite de ce qu'il venait de lui avouer, la belle de son cĆur en fut bouche-bĂ©e. Il eut un sourire de tendresse en la voyant ainsi. Si belle... Ses cheveux bruns lui tombant sur le visage et les Ă©paules. Ses lĂšvres fines si dĂ©sirables. Et ses yeux... Un putain d'regard Ă vous retourner les tripes. Magique. Magni... *ZBROUF* Asuka venait de le serrer de toutes ses forces dans ses bras, le rapprochant d'elle. Se laissant faire, le jeune homme ferma lui aussi les yeux, sans se douter que sa belle faisait de mĂȘme. P'tiiin. C'dans des moments comme ça qu'on se sent... Heureux. Vraiment. A tout faire pĂ©ter Quand il tâemplit le cĆur, la tĂȘte, le corps.. fin tout quoi, bah câest kekâchose. Une sensation de bien-ĂȘtre intense⊠Un sentiment de puissance⊠Sentir que quelquâun tâaime et compte sur toi. Pâtiin. Ca sâest magnifique. Atreus resserra sa pression sur la jeune femme. Long soupir d'aise. Bien ? On n'peut mieux. Le parfum entĂȘtant, lĂ©gĂšrement piquant, d'Asuka lui titillait les narines. Encore une raison de plus de serrer fort dans ses bras la belle jeune femme. Une raison minime en comparaison aux sentiments qu'il Ă©prouvait pour elle. Mais bon... J'aime prĂ©ciser les choses. Tant pis si ça vous embĂȘte. NAH ! Hum. Bref. Ce moment Ă©tait donc intense. Et il promettait mĂȘme de l'ĂȘtre encore plus. Si c'est possible... La jeune femme desserra son Ă©treinte amoureuse. Atreus laissa seulement glisser ses bras jusqu'au Ă©paules de la jeune femme, les caressant avec tendresse et envie. Mais son regard alla direct sur celui de la Serdaigle. Ces yeux brillaient. Et elle lui afficha encore une fois ce sourire si doux et craquant qui lui faisait BONDIR LE CĆUR Ă chaque fois. Elle passa sa main dans ses cheveux. Le contact le fit frissonner mais il adorer c'te frisson caractĂ©ristique. Un frisson qui exprime tout. Il ferma doucement les yeux, le temps d'un instant. De son cĂŽtĂ©, il ne cessait de caresser avec douceur les Ă©paules de la jeune femme. Ouvrant les yeux, il se mit Ă faire courir ces doigts sur le bras dĂ©nudĂ© de la jeune femme, celui avec lequel elle lui Ă©bouriffer les cheveux. Avec un petit sourire malin et taquin sur les lĂšvres, il dĂ©posa des baisers sur la peau de son bras. Remontant bien entendu vers son buste. Vous savez, ce genre de p'tits baisers qui chatouillent. C'est ce genre-lĂ . Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. »La voix douce de la Harada et ces paroles firent lever la tĂȘte d'Atreus. Avec un sourire tendre, la lueur encore plus forte de l'amour dans ses yeux, le Serdy enleva dĂ©licatement la larme qui avait perlĂ© dans le coin de l'oeil d'Asuka et qui commençait Ă roulĂ© sur sa joue dĂ©licate. Les deux jeunes gens s'approchĂšrent une nouvelle fois et s'embrassĂšrent langoureusement. Combien de temps ? 5 minutes ? 10 minutes ? Peut-ĂȘtre plus ? Je ne sais pas. Le Bonheur se compte pas en une valeur de temps existante. C'est donc aprĂšs un temps indĂ©terminĂ© que Asuka et Atreus cessĂšrent de joignirent leurs lĂšvres. Avec un regard tout aussi mignon et tendre, la belle Serdy pris entre ses doigts la cravate rouge de l'Irlandais, la caressant... Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă me rendre si heureuse... »Le jeune homme sourit. Heureuse. Genre il Ă©tait TRĂS MALHEUREUX avec elle. Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des femmes. »L'Irlandais l'entoura de ses bras, tout en lui caressant le dos d'une main, et ses mĂšches folles et rebelles de l'autre. J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands maharadjahs. »Les mains d'Atreus cessĂšrent un instant leurs caresses. Plongeant son regard dans celui de sa Tigresse, il se mordit la lĂšvre infĂ©rieure, d'un geste d'envie et de dĂ©sir. Un palace. Oui. Ils en avaient dĂ©jĂ beaucoup parlĂ©. C'Ă©tait LEUR rĂȘve. Passer ses journĂ©es dans un magnifique palais au bord de la mer, Ă se cĂąliner, s'embrasser et s'Ă©battre en totale libertĂ© et tranquillitĂ©. Putain. VoilĂ un dĂ©sir intense de la part des deux amants. En faisant le compte ça serait vraiment magique. Magiiique... Et le bain aux pĂ©tales de roses... Aaaah... Ăa s'est de l'extase Ă l'Ă©tat pur. Plaisir il est vrai personnel et peut-ĂȘtre assez original mais... C'Ă©tait normal. Ils Ă©taient tout deux des ĂȘtres exceptionnels, il Ă©tait donc normal qu'ils agissent de façon spĂ©ciale et originale n'est-ce pas ? Non je n'ai pas la grosse tĂȘte. C'Ă©tait comme ça qu'ils se considĂ©raient les deux Serdys. Eh bah quoi ? Ăa pose un problĂšme Ă quelqu'un ? NahmĂ©oh. ferma les yeux, poussa un soupir d'envie ce qui eu pour but de lui faire venir une vague de frisson. Ouf. Il l'adorait cette fille... Il l'adorait... Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle... »Il l'enlaça de nouveau, l'embrassant. Leurs langues s'unir avec fluiditĂ© et vivacitĂ©. Sans quitter ces frissons, Atreus passa sa main sur la hanche de la jeune femme, caressant le bas du ventre de gestes sensuels. Alors lĂ , un autre dĂ©fi va commencer. Sans abandonner l'amour qui unit ces deux jeunes gens, on peut se demander qui va dĂ©shabiller l'autre le premier... DĂ©fi intĂ©ressant n'est-ce pas ? Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 23 Mar 2008 - 1705 ... -Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des eut un petit rire en entendant ses paroles, son expression Ă elle sortir de sa bouche. Oui, c'Ă©tait jouissif en effet... Souriant tandis qu'il la prenait dans ses bras en lui caressant le dos, elle colla un peu plus son corps contre le sien, posant la tĂȘte sur son Ă©paule et, en fermant les yeux, rĂȘvassa un envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands desserra son Ă©treinte pour plonger en elle son regard rĂȘveur, plein d'envie lui aussi. Lorsqu'il se mordit la lĂšvre infĂ©rieur, le regard perdu dans le sien, Asuka crĂ» mourir d'envie tant ses lĂšvres l'attiraient. Mais elle ne bougea pas. Parce-que, mĂȘme si elle pouvait le toucher et l'embrasser autant qu'elle le voulait, elle le voyait toujours comme cet objet sacrĂ© auquel elle l'avait comparĂ© la premiĂšre nuit Ă la bibliothĂšque. Quelque chose de fragile, de trop beau pour elle. Et il Ă©tait si craquant Ă se mordiller la lĂšvre ainsi qu'elle avait peur de le briser si elle faisait quoi que ce soit. Alors elle resta lĂ , Ă l'admirer. Lorsqu'il poussa son profond soupir rempli d'envie, elle crĂ» fondre sur place tant elle aimait quand il faisait Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle...-Oh oui je te comprend...Dit-elle avec un sourire en baissant les yeux, frissonnant. Oui, elle le comprenait... car elle aussi l'aimait, Ă s'en faire pĂ©ter le coeur... Mais comme il le disait, ce n'Ă©tait jamais trop... Non... on aime jamais trop. Elle leva les yeux vers lui et vit qu'il la regardait. Ses yeux... ses yeux bleus... Si elle devait choisir sa derniĂšre vision, sur son lit de mort, ce serait ces yeux. Ses yeux Ă lui, parce-que son regard vĂ©hiculait des tas d'Ă©motions Ă la fois. Parce-que son regard voulait tout dire. Parce-qu'Ă travers son regard, elle sentait qu'elle Ă©tait quelqu'un. Ils se regardĂšrent une longue seconde avant qu'il ne s'approche enfin pour l'embrasser. Basculant au dessus d'elle, il posa son coude Ă cĂŽtĂ© de la tĂȘte de la jeune femme, plaquant le dos de celle-ci sur le lit et sa tĂȘte sur le coussin confortable du jeune homme. Tandis qu'il l'embrassait en lui caressant le bas du ventre, les mains d'Asuka courraient sur ses Ă©paules et sur son torse, tandis qu'elle se courbait de plaisir sous ses caresses. Les gestes gardant toute leur sensualitĂ©, les baisers devinrent cependant de plus en plus fougueux tandis que l'envie ne cessait de monter en eux. Elle l'aimait. Elle l'aimait... Comme une folle. Oui, folle. Elle Ă©tait complĂštement dingue de ce mec. Son visage, son coeur, son corps, son humour, sa gentillesse, son regard... son regard... Asuka ouvrit les yeux entre deux baisers et, comme si il Ă©tait capable de lire dans ses pensĂ©es, il en fit de mĂȘme au mĂȘme instant. Leurs regards se croisĂšrent alors, et tout deux sourirent avant de reprendre le baiser plus passionement encore. En un regard ils se comprenaient. Leurs Ăąmes Ă©taient comme liĂ©es, ils Ă©taient... ils Ă©taient fait l'un pour l'autre. La belle commença Ă dĂ©boutonner la chemise de son homme. D'une main habile, habituĂ©e malgrĂ© elle, elle les dĂ©faisait d'une main tandis que l'autre caressait sa nuque ou Ă©bouriffait ses cheveux. Une fois la chemise dĂ©boutonnĂ©e, Atreus fit de lui mĂȘme coulisser le noeud de sa cravate, l'enlevant ensuite, avant de retirer sa chemise blanche, offrant Ă Asuka la vue de ce corps qu'elle dĂ©sirait plus que tout autre au monde. Atreus Ă©tait un excellent joueur de Quidditch. Et par surcroit, un jeune homme trĂšs bien montĂ©... Une fois torse-nu, il revint Ă elle, ne lui laissant pas une seconde de rĂ©pit. Et tant mieux... Posant ses coudes de part et d'autre de sa tĂȘte, sur elle, il l'embrassa fougueusement tandis qu'elle passa des caresses aux griffures dans son dos, ce qui sembla plaire au jeune homme sauvage, qui aida la jeune femme Ă enlever son pull et son dĂ©bardeur en mĂȘme temps, avant de descendre lui faire des baisers dans le cou. Se courbant sous le plaisir et les frissons, elle laissa tomber sa tĂȘte sur le coussin, fermant les yeux. Atreus descendit un peu plus, dĂ©posant des baisers au milieu de la poitrine de la jeune femme. Sentant la chaleur monter considĂ©rablement en elle, elle empoigna les cheveux du jeune homme tout en faisant courir ses ongles sur son Ă©paule, les yeux toujours fermĂ©s. Du plaisir... Rien que son corps contre le sien, rien que ces baisers la rendaient folle... Elle s'abandonnait Ă lui, elle Ă©tait toute Ă lui...DĂšs qu'elle l'avait vu, Ă la bibliothĂšque, elle l'avait dĂ©sirĂ©. Ce corps, pourtant pas forcement des plus musclĂ©s du collĂšge, lui avait fait quelque chose. Comme si... comme si dĂšs la premiĂšre fois elle avait su. Lorsqu'elle s'Ă©tait approchĂ©e de lui, elle avait vu ce visage, et ce regard... Au delĂ de ses pulsions d'envie, elle avait ressentit autre chose... d'autres pulsions... au coeur. C'est lĂ que tout avait commencĂ©. Lorsqu'en un regard, son coeur s'Ă©tait serrĂ©. Elle l'avait dĂ©sirĂ©, dĂ©sormais elle l'aimait. Ils s'aimaient. Bien plus que du sex, cet instant Ă©tait l'expression de leur amour. Asuka avait couchĂ© avec quelques garçons. Jamais elle n'avait prit tant de plaisir qu'avec Atreus. Parce-que jamais elle n'avait aimĂ© quelqu'un comme elle l'aimait lui. Tout son corps, tout son coeur rĂ©agissait rien qu'au son de sa voix, rien que lorsqu'elle entendait son nom... et quand elle le voyait... c'Ă©tait tout ses sens qui s'Ă©veillaient et s'Ă©merveillaient. LĂ encore, Ă cet instant sensuel et fougueux Ă la fois, elle ressentait autant d'amour que de plaisir. A chaque seconde, elle se retenait de lui crier qu'elle l'aimait. Atreus, qui avait continuĂ© son petit chemin, dĂ©posait dĂ©sormais des baisers sur le ventre plat de la jeune femme, qui se courbait sous les grandes inspirations qu'elle prenait. Du plaisir, encore du plaisir... Frissonnant sans arrĂȘt, les yeux fermĂ©s pour mieux sentir Atreus contre elle, pour mieux sentir chacune de ses caresses et de ses baisers. Puis il remonta jusqu'Ă ses lĂšvres, faisant glisser une des bretelles de son soutien-gorge le long de son Ă©paule. Asuka sourit. Cet instant qu'il venait de lui offrir, ces baisers tout le long de son buste, ses caresses... C'avait Ă©tĂ© un de ces plaisir... La belle avait envie de lui rendre, lui montrant elle aussi de quoi elle Ă©tait capable, bien qu'ils se soient dĂ©ja montrĂ© beaucoup de choses dans ce domaine...Posant les mains sur son torse, elle le poussa doucement, lui faisant comprendre que c'Ă©tait Ă son tour de s'allonger. Atreus ne se fit pas prier, souriant d'un air coquin, se laissant basculer sur le coussin. La jeune femme s'assit Ă cheval sur la taille du jeune homme, rejetant ses cheveux en arriĂšre avant de l'embrasser en lui mordillant la lĂšvre sensuellement. Elle sentit les caresses d'Atreus dans son dos. Chacunes d'elles excitait un peu plus la jeune femme qui descendit dĂ©poser Ă son tour des baisers sur le torse chaud du jeune homme. Joueuse, elle passa sa langue autour d'un tĂ©ton du jeune homme, puis dans son nombril. Remontant le long de son torse en faisant glisser sa langue sur chaque particule de sa peau se trouvant sur son passage, elle revint Ă ses lĂšvres et redescendit encore, faisant cette fois glisser son doigt sur sa peau, si lentement qu'il pouvait en avoir des frissons. Prenant tout son temps pour l'exciter encore et faire durer le plaisir, elle dĂ©tacha sa ceinture...Parce-que ces moments lĂ Ă©taient inoubliables. Parce-qu'elle l'aimait, parce-qu'elle le voulait en elle. Il Ă©tait dĂ©ja dans son coeur, dans sa tĂȘte... et elle en voulait plus. Toujours plus, jamais trop. Leurs Ăąmes ne faisaient qu'une, tout comme leur tĂȘte et leur coeur. Et lorsque leurs corps fusionnaient Ă leur tour, c'Ă©tait l'extase, l'Amour Ă l'Ă©tat pur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Vol PV Atreus » ENTRE 1 ET 10 pv Atreus» Come Break Me Down... PV Atreus» Rencontre amicale [PV Atreus]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Rienqu'une larme dans tes yeux. Rien qu'une larme dans tes yeux. Composition de Cours de guitare ThĂ©orie & Harmonie Index privĂ© Bpm Ce tempo n'est qu'un repaire selon l'envie et l'humeur du moment il peut ĂȘtre plus ou moins rapide. Index privĂ©. Accueil. Artistes. Contact.. Cours. Festivals. Jazz-Clubs. Liens. PrivĂ©. Tirage au sort Autour de Django. Youtube.
"Ca va aller?"Il grogna une affirmation, encore abrutie par le sommeil."Tiens, voilĂ du cafĂ©. Seika nous en a rapportĂ©, cela te fera du Toujours le mĂȘme cauchemar?_ Oui et non. C'est le mĂȘme, mais la fin est diffĂ©rente. Je ne sais mĂȘme pas si c'est un prĂ©sage de bon augure ou non."June fronça les sourcils"Que veux-tu dire?"Ikki se leva, la tasse de cafĂ© Ă la main, et se dirigea vers la fenĂȘtre. Dehors, l pluie commençait Ă tomber, et le temps semblait Ă l'orage. "Je vais essayer de t'expliquer comment cela s'est passĂ© dans mon rĂȘve, ou plutĂŽt mon cauchemar... Je ne sais plus trop pour tout te dire."June le rejoigna, et l'Ă©clair tomba Ă ce moment-lĂ , Ă©blouissant le ciel, un bruit assourdissant Ă sa suite."Vas-y, je t'Ă©coute."Il commença Ă lui frĂ©missementIl raconta sa vision de Shun en HadĂšs,...Un mouvement...la mort d'EsmĂ©ralda,...Emmagasiner ses derniĂšres forces pour tenter de rĂ©aliser l'impossible... son enfance et le fait qu'il n'arrivait pas Ă voir le visage du pĂšre de Shun...BrĂ»ler son cosmos au maximum pour rĂ©aliser un miracle... Mais au moment de parler des propos de Shun sur l'espoir et l'annonce d'une nouvelle menace, ils ressentirent une cosmo-Ă©nergie trĂšs puissante. Ils se retournĂšrent vers l'origine de cette puissance et le tonnerre gronda Ă cet instant, laissant des ombres chinoises sur le mur. "C'est impossible!_ C'est incroyable!"Cette cosmo-Ă©nergie Ă©tait celui de Shun un aura dorĂ© l'entourait; puis soudain une lumiĂšre vive Ă©blouissait June et Ikki. Cette lumiĂšre Ă©tait tellement aveuglante qu'ils furent obligĂ© de se protĂ©ger les yeux. Puis ce fĂ»t les tĂ©nĂšbres, les plombs avaient sautĂ©s; les gĂ©nĂ©rateurs de secours s'activĂšrent et la lumiĂšre revint......pour laisser voir l'Ă©lectrocardiogramme afficher une ligne continue."Shun! Nonnnnnnn!!!!"Ils avaient hurlĂ© son nom en mĂȘme temps. Ikki se prĂ©cipita sur l'appel d'urgence, tandis que June tentait de le ranimer, mais l'appareil refusait de fonctionner. Ikki sortit en trombe de la chambre pour trouver les tenta de faire rĂ©agir le coeur de Shun par des mouvements d'Ikki Ă©tait tellement accaparĂ© par la peur de perdre Shun qu'il faillit ne pas voir la chambre de Seiya grand ouverte avec tout un groupe de personnes habillĂ©s en blanc. "Ne meurs pas Shun" pleura June "Ne me laisse pas seul, j'ai besoin de toi".Ikki arrĂȘta sa course brusquement et empoigna l'un des rĂ©flĂ©chir, elle approcha ses lĂšvres de celles de Shun."Mon frĂšre est en train de mourir" hurla-t-ilElle l' par sa colĂšre, le mĂ©decin ne pĂ»t rĂ©agir tout de suite, ce qui permit Ă Ikki de voir Seiya assis sur son lit. Il semblait toujours absent, mais il Ă©tait sorti du coma!Sur le coup, il n'y avait rien de spĂ©cial. Seika pleura de joie, sauta dans les bras de Jabu tandis que ce dernier ne semblait pas rĂ©aliser ce qui s'Ă©tait passĂ© pour produire ce June, ce baiser Ă©tait un baiser d'adieu. Comment cela se peut-il? Pensa Ikki, quand soudain la rĂ©ponse lui vint rapidement Ă l'esprit cela ne pouvait ĂȘtre que l'oeuvre de Shun, il avait donnĂ© le peu de force qui lui restait pour sauver elle commença Ă sentir quelque chose."Miracle, il y a eut, miracle, il y aura"Shun s'envolant vers le cielC'Ă©tait quelque chose de doux et d'agrĂ©able Ă la fois. Le sens de cette partie de son rĂȘve Ă©tait clair maintenant... Il avait sacrifiĂ© sa vie pour rĂ©aliser un frisson parcourra son refuse d'accepter cela! pensa-t-il, les dents Ă©tait en train de lui rendre son il se prĂ©cipita dans la chambre de Shun, suivie de la moitiĂ© des mĂ©decins. Une lumiĂšre aveuglante envahit toute la piĂšce; tous furent Ă©blouis, mais ce phĂ©nomĂšne ne dura il arriva, il dĂ©couvrit un spectacle qu'il ne s'attendait pas Ă voir Shun et June s'embrassant follement, June posant les bras autour de coup de Shun, et les mains de son frĂšre autour de la taille de June."Qu'est-ce que...?" Fit Ikki retira sa bouche de celle de June et se tourna vers son frĂšre"Il y a eut un miracle Ikki."A ces mots, Ikki ne pĂ»t retenir ses larmes de joie.***Deux jours passĂšrent aprĂšs ce phĂ©nomĂšne des analyses mĂ©dicales, les mĂ©decins conclurent, Ă leur grand Ă©tonnement, que Shun Ă©tait en parfaite santĂ©; ils lui prescrirent tout de mĂȘme beaucoup de ce qui concerne Seiya, le diagnostic Ă©tait beaucoup plus sombre selon les mĂ©decins, il perdrait dĂ©finitivement l'usage de ses membres infĂ©rieurs et garderait cet Ă©tat catatonique pendant toute sa refusa ce diagnostic et mit tout en oeuvre pour le sauver, notamment grĂące Ă sa cosmo-Ă©nergie; mais malgrĂ© tout ses efforts, l'Ă©tat de Seiya ne s'amĂ©liora durant ces deux jours, Shun se reposa dans la manoir Kido, accompagnĂ© de June, afin de recouvrir ses forces. Puis, sentant qu'il Ă©tait au meilleur de sa forme, il dĂ©cida de revenir Ă l'hĂŽpital afin d'avoir des nouvelles de arriva Ă l'hĂŽpital, June Ă son bras, on lui indiqua que Seiya Ă©tait dans les jardins; et lorsqu'ils arrivĂšrent Ă destination, ils virent tout ses compagnons d'arme assis en groupe discutant de tout et de rien. Shiryu et ShunreĂŻ Ă©taient assis sur un banc, Hyoga Ă droite de Shiryu, tandis que MilĂšne Ă©tait Ă gauche de ShunreĂŻ. Ichi et Nachi Ă©taient assis en tailleur, en train de se raconter quelques plaisanteries, et s'esclaffaient de temps Ă autres. Jabu Ă©tait allongĂ© dans l'herbe, une marguerite dans sa bouche, et Ă©tait en grande discussion avec Seika. Ban et Geki Ă©taient un peu plus loin en train de jouer avec quelques enfants malades; Shun nota que pour des personnes aussi fortes, ils Ă©taient trĂšs doux avec les enfants. Quand Ă Shaina et Marine, cette derniĂšre avait gardĂ© son masque en utilisant un stratagĂšme auprĂšs des mĂ©decins pour le conserver une histoire de brĂ»lure aux 3Ăšme degrĂ©s pour stopper court Ă toutes interrogations, elles Ă©taient adossĂ©es Ă un arbre et parlĂšrent assez rarement. Quand Ă Ikki, aprĂšs s'ĂȘtre totalement reposĂ© deux jours durant, il Ă©tait de nouveau frais et dispos, et rasĂ© de prĂšs; il se tenait contre un arbre, Ă l'opposĂ© de celui de Marine et Shaina, et semblait ne trouva pas tout de suite AthĂ©na et Seiya, et aprĂšs un temps de recherche, ce fĂ»t June qu'il lui indiqua l'endroit oĂč ils se trouvaient. A quelques distances de lĂ , sous un vieux chĂȘne centenaire, Seiya semblait toujours dans cet Ă©tat second; AthĂ©na, Ă genoux devant lui, tenait sa main droite et lui parlait longuement."Depuis combien de temps est-elle avec Seiya?" Demanda ShunJabu se retourna vers AthĂ©na, et lui rĂ©pondit"Elle est lĂ depuis l'aube, ne cessant de lui Vous pensez qu'elle arrivera Ă le sortir de cet Ă©tat?_ Elle fait tout pour en tout cas, elle envoie sa cosmo-Ă©nergie pour soigner ses blessures internes..._ ...mais pour l'instant, il n'y a aucun rĂ©sultat." Finit HyogaShun hocha la tĂȘte"Je vais aller la voir", puis se tournant vers June "Tu peux rester un instant ici mon amour? J'en ai pas pour Bien sĂ»r mon lapin""Mon lapin?" s'Ă©tonnĂšrent tous;"Bah quoi?" leur rĂ©torqua Shiryu devant leurs regards hĂ©bĂ©tĂ©s "cela ne vous est-il jamais arrivĂ© d'entendre des amoureux s'appeller par des petits noms?_ Et comment ShunreĂŻ te surnomme-t-elle?" Demanda Hyoga d'un air espiĂšgle."Euh... comment dire? Ce n'est pas le genre de surnom qui peut ĂȘtre dit en public".Shiryu Ă©tait terriblement gĂȘnĂ©, lui qui avait toujours son self-contrĂŽle, semblait complĂštement pris Ă court et ne savait plus oĂč se mettre; tandis que ShunreĂŻ pouffa tout en rougissant."Allez! Vas-y! Dis-le nous! Je te promets que l'on ne va pas se moquer" enchaĂźna les autres le harcelĂšrent aussi, mais Shiryu ne voulait pas lĂącher l'affaire."C'est de ta faute aussi" se moqua ShunreĂŻ "tu leur as tendu la Tu pourrais me soutenir tout de mĂȘme" supplia se dirigeant vers AthĂ©na, sourit de l'embarras de sembla ĂȘtre tellement absorbĂ© par Seiya qu'elle ne sentit pas l'arrivĂ©e de Shun"Toujours pas d'amĂ©lioration?"Surprise, elle se retourna pour voir le sourire triste, mais bienveillant de Shun; mais elle se remit rapidement pour garder un air dĂ©sespĂ©rĂ©"Non, toujours rien... Ma cosmo-Ă©nergie ne semble pas avoir d'effet sur son Ă©tat, c'est le genre de chose que mĂȘme une DĂ©esse ne peut accomplir; c'est Ă lui seul maintenant de trouver le chemin de la sortie, je ne joue que le rĂŽle du phare dorĂ©navant"Soudain, elle Ă©clata en sanglot"Pourquoi suis-je incapable de faire quoique ce soit? Je suis une DĂ©esse tout de mĂȘme! Et malgrĂ© tous les sacrifices qu'il a accomplit pour moi, je suis incapable de lui rendre la pareille!"Shun la rĂ©conforta du mieux qu'il pouvait"Vous ĂȘtes extĂ©nuĂ©s, allez vous reposer. Ce n'est pas dans cet Ă©tat que vous pourrez faire quelque chose pour lui. Allez voir les autres, discutez avec eux, cela vous fera le plus grand Tu as raison Shun, mais je n'ai pas envie de le laisser Il ne sera pas seul; je vais lui tenir compagnie pendant que vous allez vous Cela ne te dĂ©range pas?_ Aucunement" Dit-il en lui vu de ce sourire, elle sĂ©cha ses larmes et partis rejoindre le petit groupe, sans omettre de remercier Shun de prendre sa place pendant quelques instants. Pendant quelques minutes, il discuta avec Seiya, et malgrĂ© le manque de rĂ©action et le regard vide de son compagnon, il continua comme si il Ă©tait conscient. De temps en temps, il se tourna la tĂȘte vers le groupe, et lorsqu'il vit que AthĂ©na semblait aller mieux et que personne ne prĂȘta attention Ă lui, il prit la main de Seiya"Je vais peut-ĂȘtre faire quelque chose d'insensĂ©, mais il faut tenter le tout pour le tout pour te sortir de lĂ . Je ne sais pas si je vais rĂ©ussir ma tentative, et je vais certainement y laisser la vie, mais je serais prĂȘt Ă faire ce sacrifice pour sauver un ami."A ces mots, il ferma les yeux et se concentra.***Les tĂ©nĂšbres...Le silence...L'obscuritĂ© total...L'espace et le temps semblent ĂȘtre aboli...Jusqu'au jour oĂč il vite cette lumiĂšre. Il la reconnaissait entre toute, il ne pouvait s'agir que d'AthĂ©na qui tentait de la guider. Mais pourquoi ses jambes refusaient-elles de bouger? Pourquoi avait-il l'impression d'avoir du ciment dans les pieds? Pourquoi, malgrĂ© tous ses efforts, n'arrivait-il pas Ă augmenter son cosmos pour se libĂ©rer de cette entrave?Il tentait de ramper, mais comment faire quand il ne savait pas Ă quoi s'accrocher? Il ne semblait n'y avoir ni sol, ni plafond, ni murs dans cet endroit. Il semblait mĂȘme tomber dans le il ne perdait pas espoir, car AthĂ©na Ă©tait lĂ , prĂȘte Ă le sortir de ce lieu oubliĂ©. Mais elle semblait si loin, et malgrĂ© ses efforts, il semblait s'en Ă©loigner de plus en plus. Il pleurait de rage, maudissant ses jambes qui semblaient ĂȘtre du plomb, mais ne s'avoua pas vaincu et continua Ă la lumiĂšre disparut...TerrifiĂ©, il ressemblait Ă ces enfants qui avait peur du noir aprĂšs que ses parents avaient Ă©teint la veilleuse. Il tenta de crier pour montrer qu'il Ă©tait lĂ , bien prĂ©sent, mais aucun son ne sortit de sa de plus effrayant que de se sentir seul abandonnĂ©. Personne pour vous aider...Etre seul...Seul...Il s'enfonça tout doucement dans la mĂ©lancolie..."Seiya..."Cette voix, il l'avait dĂ©jĂ entendu auparavant. Elle teinta comme une note d'espoir, mais elle semblait si Ă©loignĂ©e..."Seiya..."Plus proche cette fois-ci. Mais qui l'appelait? Il tenta de se souvenir, mais il y avait comme un mur dans sa mĂ©moire."Seiya!..."Le mur commença Ă se dĂ©solidariser, et se onde de chaleur parcourra tout son corps, libĂ©rant ainsi ses entraves. Il semblait libre comme l'air, lĂ©ger comme un plume. Il avait dĂ©jĂ ressentit cela lorsqu'il s'Ă©tait Ă©veillĂ© dans cette obscuritĂ©."Shun!" Pensa-t-ilCela ne pouvait ĂȘtre que lui, cela ne faisait aucun doute, il reconnaissait sa une lumiĂšre aveuglant apparut, Ă©vaporant les tĂ©nĂšbres qui l'entouraient, et laissant apparaĂźtre un chemin vers la sortie qu'il espĂ©rait resta lĂ un instant, Ă©tourdi par ce phĂ©nomĂšne, ne sachant pas quoi penser. Mille questions se bousculaient dans sa tĂȘte, mais il se ressaisit rapidement et courut vers cette sortie. Plus il se rapprocha, plus il entendit des sons, de la musique, des le remplit de joie, mais il sentait qu'il devait se dĂ©pĂȘcher si il ne voulait pas rester emprisonner dans cette obscuritĂ© pour toujours. La sortie Ă©tait en face de lui, mais pour combien de temps encore? Il redoubla d'effort et accrut sa vitesse."Aurais-je le temps?"***AthĂ©na fĂ»t la premiĂšre Ă remarquer que quelque chose clochait, puis Ikki se rĂ©veilla de sa somnolence et se leva d'un bond, dirigeant son regard vers Shun"Non..." reconnaissant ce phĂ©nomĂšne, car l'ayant dĂ©jĂ connu par le passĂ©, fit un mouvement brusque de la tĂȘte vers Shun. Les autres suivirent leurs regards et comprirent soudainement leur sujet d' se prĂ©cipita vers Shun, mais fĂ»t soudain stoppĂ© par un champ de force qui le fit tomber par terre."Que diable?...."Hyoga le releva'Il essaye de sortir Seiya de sa lĂ©thargie; comme il avait fait pour moi dans la maison de la Balance, lorsque j'Ă©tais emprisonnĂ© dans mon cercueil de glace..." Commença Hyoga."Et il s'est entourĂ© d'un champs de force pour nous empĂȘcher d'inervenir." Continua AthĂ©na."Pouvez-vous faire quelques chose?" Supplia June"Je vais essayer.."A ces mots, elles prit son sceptre et se concentra sa cosmo-Ă©nergie s'intensifia, relevant ses cheveux, et lança une boule d'Ă©nergie qui fonça vers le champs protecteur. La boule d'Ă©nergie ne fit aucun effet, elle fĂ»t absorbĂ©e par la protection créée par Shun."Coment cela est-ce possible?" s'interrogea Jabu, et AthĂ©na lui rĂ©pondit"Je n'ai pas intensifiĂ© au maximum ma cosmo-Ă©nergie pour ne pas blesser Shun, mais sa protection est beaucoup plus solide que je ne le croyais. Je vais refaire une autre Faites attention..._ Ne t'inquiĂšte pas June, mon attaque ne le touchera pas"Sa cosmo-Ă©nergie s'intensifia encore plus fortement, mais elle n'eut pas besoin de rĂ©itĂ©rer son attaque, car Shun s'Ă©croula en arriĂšre, faisant disparaĂźtre ainsi son champs protecteur."Shunnnn!!!!" cria June, et tous se prĂ©cipitĂšrent vers lui.***
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rien qu une larme dans tes yeux paroles